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HEROS - MARTYRS
EN HOMMAGE A NOS GLORIEUX MARTYRS
Photo souvenir , environs Garet El Ghachoua - El-Bayadh
Photo prise en 1959
Chouhadas debout de Dr. à Gh. 1 Chaabni chaabni - 4 Lakhdari Med - 5 Benameur Chelkaf - 6 Chanbi
Assis de droite à gauche 1 Benhachem abdelkader (aspirant) - 2 Miloud Latrach ( Aspirant )
3 Boudellal ( Aspirant ) le reste fait partie de bédouins rahala
KASSAMEN
( Hymne National )
Nous jurons ! par les tempêtes dévastatrices abattues sur nous
Par le sang pur généreusement versé
Par les éclatants étendards flottants au vent
Sur les cimes altières de nos fières montagnes
Que nous nous sommes dressés pour la vie et la mort
Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!
Nous sommes des combattants pour le triomphe du droit
Pour notre indépendance, nous sommes entrés en guerre
Nul ne prêtant oreilles à nos revendications
Nous les avons scandées au rythme des canons
Et martelées à la cadence des mitrailleuses
Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!
Ô France ! le temps des palabres est révolu
Nous l'avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! voici notre réponse
Le verdict, Notre Révolution le rendra
Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!
Nos Braves formeront les bataillons
Nos Dépouilles seront la rançon de notre gloire
Et nos vies celles de notre immortalité
Nous lèverons bien haut notre Drapeau au-dessus de nos têtes
Front de Libération Nous t'avons juré fidélité
Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!
Des Champs de bataille monte l'appel de la Patrie
Écoutez le et obtempérez !
Écrivez-le avec le sang des Martyrs !
Et enseignez-le aux générations à venir !
Ô Gloire ! Vers toi Nous tendons la main !
Car Nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez–en témoins! Soyez–en témoins! Soyez–en témoins!
HEROS ET MARTYRS DE NOTRE REGION
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- Le lundi, 11 juin 2018
merci pour cette révélation de l'historique ,de geryville ça réconforte et ça soulage au revoir
- Noureddine (webmestre Nostalgie)
- Le lundi, 21 août 2017
Grand merci frère Bien jolie cette conception présentée
- ASSIL
- Le lundi, 21 août 2017
A mon avis vous etes le meilleur webmaster et admin de site web de notre ville quant au contenu je trouve ...
- MANSOURI - Stitten
- Le samedi, 24 juin 2017
Aïd moubarak, à vous Si Noureddine et à tous les visiteurs du site. Qu 'Allah vous Comble de Ses faveurs, ...
Commentaires (43)
Émilie Busquant : Combien savent-ils qu’Emilie Busquant fut l’épouse de Messali Hadj :
Combien d’Algériens connaissent-ils Émilie Busquant ? Combien savent-ils qu’Emilie Busquant fut l’épouse de Messali Hadj, tenu pour être le père du nationalisme algérien, qu'elle est considérée comme la mère du drapeau algérien ? Dans les manuels scolaires, dans l’Histoire officielle, Émilie Busquant n’existe pas. Tout comme était banni son mari pendant des années de cette Histoire lui qui n’obtiendra sa nationalité algérienne qu’en 1965, trois après l’indépendance du pays.
C’est à la vie de cette femme, de cette amante, de cette mère de deux enfants, de cette lorraine d’origine devenue militante de la cause algérienne que s’est intéressé le journaliste et écrivain Mohamed Benchicou pour en tirer un roman-enquête au titre « La Parfumeuse, la vie occulte de Madame Messali Hajd ».
Fille d’un mineur et syndicaliste en Lorraine (nord-est de la France), vendeuse au rayon « Parfumerie et objets pour dames » aux Magasins Réunis, l’un des plus anciens magasins de parfumerie à Paris, Émilie Busquant rencontre Messali Hadj en octobre 1923.
Lui, travaillant comme manœuvre à l'usine de la rue de Vitruve, avait 24 ans, elle 22 ans. Entre eux, du moins pour Messali Hadj, ce fut le coup de foudre immédiat.
De cette française qui tissa les fils de sa vie avec le jeune homme originaire de Tlemcen, Messali Hadj dira dans ses Mémoires qu’« elle était née dans une région de France fiévreuse révolutionnaire et patriotique à la fois et avait partagé avec les membres de sa famille le sort d'un prolétariat exploité et humilié ».
La vie de celle que Mohamed Benchicou surnomme « La Parfumeuse » se confondra avec le militantisme de son mari. Émilie participera avec Messali Hadj, Amar Imache et Salah Bouchafa et bien d'autres militants algériens à la création de l'Etoile Nord-africaine (ENA) à Paris en 1926, le premier mouvement nationaliste à revendiquer l’indépendance de l’Algérie alors colonie française depuis 1830.
Elle rédigera avec son mari le Mémoire de l'Etoile destiné à la Société des Nations(actellement l'ONU) en janvier 1930, participera à de nombreuses manifestations en Algérie et en France et organisera la défense de Messali pour ses nombreux procès en 1934, en 1937, en 1939 ou en 1941.
C’est Émilie Busquant qui coudra en 1929, à Tlemcen, le premier drapeau algérien, avec le tissu blanc et vert, le croissant et l’étoile aux couleurs rouges. Mais les historiens divergent sur cet épisode de l'histoire et certains doutent qu'elle soit la mère du drapeau d'Algérie. elle l’avait voulu aux couleurs de cette organisation nationaliste révolutionnaire à laquelle elle avait déjà pensé chez Gégène, un parti qui soit à cheval sur la Révolution française, la Commune et l’islam : le rouge des insurgés de 1789 et du sang des communards, du Maghreb aussi, le vert et le croissant de l’islam. »
Ce drapeau fera sa première apparition en 1930 dans un stade de football dans le quartier populaire de Belcourt avant d'être hissé par un jeune manifestant à Setif le 8 mai 1945, prélude aux massacres qui ont ensanglanté le Constantinois durant plusieurs semaines.
Brouillée avec son mari, Émilie Busquant ne continuera pas moins de le soutenir, d'attendre son retour, en lui écrivant des lettres durant ses périodes d’incarcération ou de privations de ses libertés. Elle mourra presque seule en octobre 1953, une année avant le début de la révolution algérienne.
Le jour de son enterrement à Alger, 10 000 personnes assistent à ses obsèques tandis que que son cercueil est recouvert du drapeau algérien.
Un an avant sa mort, percluse par la maladie, elle écrira à Messali Hadj, placé en résidence surveillée à Niort, dans le Poitou-Charentes, ces mots prémonitoires : « Bon Dieu, pourquoi suis-je vieille et malade. Je voudrais pouvoir faire entendre les gémissements de toute une race qui ne veut pas mourir et qui ne mourra pas malgré toutes les souffrances qu'elle supporte pour le plus grand profit de quelques-uns. C'est une honte. Maintenant le peuple français sait ce qui se passe ici et s'y intéresse. Peut-être que la solidarité fera plus qu'autre chose, mais c'est une honte pour la France. Jamais, au grand jamais, de pareils faits ne s'oublieront. Je ne veux pas mourir avant de voir l'indépendance de l'Algérie. Car, bon gré, mal gré, cela est inévitable.
,Le drapeau sera officialisé le lendemain. Elle n’a jamais oublié ce radieux après-midi d’août
1934, à la Maison des Syndicats, à Levallois-Perret, quand le drapeau fut présenté pour la première fois comme emblème national aux huit cent personnes réunies en Assemblée générale de l’Étoile nord-africaine, avec toute la solennité exigée en cet instant historique : le drapeau hautement tenu et entouré d’une garde d’honneur qui prenait son rôle très au sérieux.
À la vue de ce spectacle émouvant et grandiose, les Algériens se levèrent comme un seul homme en criant, en priant, en chantant : « Vive l’Algérie indépendante ! » Jamais une telle cérémonie n’avait eu lieu depuis l’entrée des troupes françaises en Algérie en 1830. La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre à travers la France et l’Algérie et tout le monde comprit qu’avec l’apparition de cet emblème vert, une lourde page de l’histoire coloniale en Algérie venait d’être tournée.
L’emblème national serait porté pour la première fois, un matin de juillet 1936, par le vieux Lasfer de l’usine Renault de Billancourt lors d’un défilé des partis de gauche, entre la place de la Nation et la Bastille, comme pour rappeler à cette France coloniale amnésique qu’elle s’était battue, en son temps, pour la liberté et la justice.
Elle avait à peine 24 ans et s’occupait de rédiger le courrier ainsi que les documents sensibles, de retenir les salles de réunion, généralement la Grange Aux Belles – c’était près de chez eux –, d’obtenir les autorisations d’organiser des débats, d’écrire et de distribuer les tracts… Elle se revoit dans ses folies de jeune mère, en 1930, devant le berceau de son fils Ali qui venait de naître, dans cette chambre mansardée de la rue du Repos, rédiger les premiers articles pour El-Oumma, le journal de l’Étoile nord-africaine, le
premier parti à revendiquer l’indépendance de l’Algérie, se relayant, avec son compagnon, au chevet du nourrisson, s’apercevant qu’il n’y avait plus de lait et, le devoir de la militante l’emportant sur l’obligation de la mère, continuer à écrire pendant que son bébé hurlait de faim.
Emma s’était investie sans jamais apparaître publiquement. C’était une militante. Nul besoin de s’afficher. Elle s’était d’ailleurs fait une règle de toujours s’effacer au profit de son ami. De ne jamais l’indisposer, lui dont elle savait qu’il traînait bien des complexes. Elle s’en disait la secrétaire la collaboratrice, celle qui prend le courrier sous la dictée et met en forme. Elle laissait croire.
Lors de son premier voyage à Tlemcen, en 1925, elle se fit adopter par la famille de Hadji, s’accoutumant à sa façon de vivre, à sa manière de parler, allant jusqu’à apprendre la langue arabe et revenir avec le surnom de Djanina, donné par son beaupère et dont elle ferait le prénom de sa fille, quelques années plus tard. Ce fut un bien riche périple que ce premier voyage dans la ville natale de son compagnon. La cité était conforme aux descriptions qu’il en avait fait : les riches et les pauvres ; les Français et les indigènes ; la misère et l’aisance ; l’insouciance et le désespoir… Ici donc il marchait pieds nus. Ici, il marcherait en vainqueur, s’était-elle jurée
Eh bien ,c'était -elle ,Emilie Busquant ,elle est devenue la femme de MESSALI El-Hadj,le père de la lutte de libération nationale,l'Etoile Nord Africaine,c'est elle,Jennina,Madame MESSALI Hadj,c'est elle qui a fabriqué le Drapeau de l'Algérie"
Je vous dis ,vive l'Algérie et que vivent les citoyens qui sont restés intègres et dignes républicains au service de l'Algérie toujours debout! ....................................................,votre ami Abderrahmane,
"Novembre 1954" appartient au Peuple Algérien ,pas à une minorité qui veut l'utiliser pour l'éternité! Vive les Martyrs!vive le peuple!vive l'Algérie! .......................................votre collègue internaute,Abderrahmane,
Joyeux anniversaire(50ième) de l'indépendance.
Vive l'Algérie!vive La République!Gloire à nos Martyrs de 1830 à l'Eternité ! Abderrahmane MOKHTARI,
est en réalité Hakkoum Abdelhakem ben Benameur né en 1942 à Ouafeg et tombé au champ d'honneur en Déc. 1961 au djebel Essom-Kheg Lakhdar près d'Arbaouet.C'est mon oncle maternel.
D'autre part, Bounoua Abdelhalim (fils de l'imam Hadj Bahous et frère de Abdelmalek,limonaderie Gsar El Atchane )a du vouloir parler de son frère Abdelaziz qui se trouve (mais n'est pas nommé )sur les 2 photos de Moujahidines à Garet El Ghachoua-1959.
Sur la 1e photo,c'est le 3e debout à partir de la droite et portant le drapeau.
Sur la photo diaporama,c'est le 4e debout à partir de la droite portant un fusil.
Comme vous pouvez le constater votre post apparait coder u que la plate forme que j'utilise ne supporte pas et à mon grand regret les caractères arabes
A travers votre méssage j'ai cru comprendre qu'il y avait érreur concernant la photo de Bounoua Abdelaziz et je vous en remercie , vous dites étre historien et realisateur de pusieurs documentaires ayant traits à la lutte de libértion et que vous travaillez actuellement sur la bataille d'El gor
Pour tout vous dire je ne suis nullement un historien ou spécialiste en la matière , la rubrique ici présente n'est en quelque sorte qu'un humble hommage que j'ai voulu rendre à ceux qui nous ont libéré du joug colonial,je pourrais vous diriger sur des personnes et qui ont vécu cette période , pour la bataille d'El gor j'ai eu des bribes d'une personne de sid el hadj eddine , malheureusement que je n'ai pu enregistrer et comme vous étes intéréssé faites moi signe ;je vous transmettrais les coordonnées de ce Monsieur
J'ai quelques documents des différentes batailles de notre région martyre oubliée malheureusement non signés et qui méritent une étude et des recherches approfondies
Merci pour votre passage et je suis tres heureux de vous avoir lu
Salem leikoum
الشكر الجزيل منا, و الجزاء من الله على ما قمت به من عمل و هو صور الشهداء الأمر الدى ينم عن روح وطنية عالية, إنتماءللثورة المباركة
كان بين الصور التى عرضتها أخى بونوة عبد العزيز, الدى توفي سنة 1988
في حادث مرور, و سهر أخي ميلودي محمد الدى لازال حيا
أنا من كبار معطوبي جيش التحرير, أستاد و باحث, كاتب سناريو, أنجزت كثير من الأشرطة التراثية بالجهة وأنني الأن بصدد إنجاز فيلم و ثائقي برعاية وزارةالمجاهدين بعنوان - معركة القورمعركة الكرامة
لدا أرجو مساعدتى بما تملك من و ثائق و صور .. ويمكن أن تكون من ظمن المستجوبين في الفلم
الأستاد بونوة عبد الحليم
A Si Noureddine ,je dirai pour ne pas oublier que feu mon frère Mohammed est né le 13 04 1937 et est décédé au maquis ,pour que vive l'Algérie le 13 04 1957,juste 20 ans(vingt ans)jour par jour,le jour anniversaire de sa naissance.Que Dieu :Allah yarhamm Echouhadas!A chacun de nous son destin .
Je m'adresse aux responsables des Anciens Moujahidines et représentants des Jounouds morts au Maquis pour que vive l'Algérie et à les Responsables de la région d'El Bayadh de combler le vide,en baptisant ,au moins,une rue,ou un établissement public,ou un lieu public en hommage à ces êtres ,si chers ,que nous avons perdus hier et qui heureusement vivent toujours dans nos esprits .
Tu m'excuseras ,mon ami Si Noureddine je ne suis pas encore arrivé à visionner la photo du frangin sur la rubrique ,je sais malgré le temps que tu as passé ,pendant des journées ,à travailler et à façonner ,je te remercie pour cela et te prie de croire à cette solidarité et à cette amitié qui nous lient .
Je rectifie le tire,merci ya Si Noureddine,ça y est ,je viens par la chance de visionner toutes les images que tu fais paraître ,merci,merci,c'est un chef d'oeuvre ,merci ,et à toute à l'heure ou demain , Abderrahmane,
Comme signalé sur mon premier post du 19/07/2007 pour l'envoi de photos de chahids je n'ai reçu tout au plus deux photos après 3 années.
Tout le monde sait que notre région était lun des premiers bastions de la rebélion et de la lutte armée
Nous sommes fiers de nos aieux qui ont déclenché les premières insurrections en Algérie : Insurrection de Sidi Bouamama - Insurrection des ouled Sid cheikh... toute cette terre bénie est baignée de leur sang pour que vive l'Algérie libre
Si Noureddine TOUMI:pour son dévouement ,sa dynamique et très efficace contribution à la gestion du site"nostalgie géryville" et à son amitié pour toujours .
Bénameur KAMEL :pour sa brillante communication :"offense du drapeau,offense aux Martyrs",pour notre camaraderie du cours complémentaire d'El Bayadh 1955 à 1958 ,et,pour sa perspicacité dans la présentation des faits historiques et à notre amitié pour toujours .
Bachir BEKKARA :pour m'avoir toujours donné ses précieuses explications et m'avoir guidé à visiter la station de figures rupestres de Garet Ettalèb,lieu où s'est déroulée la grande bataille du 13 04 1957 ,pour son dévouement aux actions citoyennes et pour notre amitié pour toujours .
Ahmed BESSEDIK:pour nous avoir expliqué clairement "la bataille de Garet Ettalèb"du 13 04 1957",sa disponibilité pour ses moments historiques et son dévouement et pour notre amitié pour toujours.
Ahmed MANSOUR et Lahcène BELHACHEMI:pour leur dévouement,leur aide et pour notre amitié pour toujours .
Bachir NOURI,Abdelkader MEBARKI,Ahmed ZACHE:anciens maquisards ALN ,pour leur témoignage sur la bataille et sur une parie de leur vie passée en prison avec feu mon père Etaleb Mahammed ben Khaled(Allah yarhamhoum jamiaan)et sur l'organisation de la lutte de libération en prison et pour notre amitié et solidarité pour toujours .
Abdelkader BOUTADJINE-Mustapha TADJEDDINE et son Fils -Abdallah BENSAID,Benyahia BELAID et Benaîssa HAMSAS pour leur participation et aide à la visite de Garat Ettalèb et pour notre amitié pour toujours .
Je renouvelle ici et encore une fois mes remerciements à toutes les autres personnes internautes,parents et citoyens qui m'ont donnés leur aide en toute circonstance que je n'oublierais jamais ,à eux notre amitié pour toujours .
Nom : MOKHTARI Mohamed ben Mahammed ben Khaled
Date de naissance : en 1937 à El Bayadh ,Ouleds Moumen- Ghassoul Adresse :Rue Tirman actuellement rue Khémisti ,Erhat Errih .Tombé au champ d’honneur à Gart Ettaleb le 13.04. 1957 .
Formation: 1944-1946:école maternelle d’El-Bayadh 1946 -1952 : école élémentaire de garçons,Ben Badis. 1952 -1955 : apprenti mécanicien au garage Vincent(à côté sonelgaz,anciennement Kavedeviell)
Lutte de libération: 1955-1956 :armée française,a déserté avec arme et munitions à partir du camp de Brézina,a rejoint l’ALN(février 1956). 1956-1957 :a participé à plusieurs missions de l’ALN dont celles du courrier aux frontières et à plusieurs batailles(bounougta,Elmouhgoun) et à la bataille décisive de Gart Ettaleb,le 13 avril 1957 où il trouva la mort,l’arme à la main,et ce après avoir abattu plusieurs soldats.
Bataille de Gart Ettaleb (source témoignage d’un djoundi de l’ALN) Les djounouds de l’ALN (64 dont 10 sans arme)après avoir mené plusieurs combats,se sont installés,depuis une semaine à Garet Ettaleb.Le13 avril 1957 ,au levée du jour,l’armée française est venue se mettre au pied de la montagne,juste devant nous. Les djounouds,en haut ,s’étaient disposés en groupes,un peu partout.Ce n’est qu’à partir de 06h du matin,que le fusil mitrailleur de l’ALN a tiré en premier,en tuant et blessant plusieurs soldats.Les français ont ripostés et se sont repliés,derrière nous .Les automitrailleuses,à partir des hauteurs et de l’autre côté,ont riposté avec des feux nourris et n’ont pas cessé de nous pilonner .Les échanges de tirs ont duré toute la journée .Tard la nuit,nous nous sommes regroupés(19 éléments)en vue de rejoindre ,notre pc,juste derrière,sur la montagne de Bèsbaa.
Le bilan de la bataille Garet Ettaleb : Soldats français : 120 tués et 75 bléssés.Djounouds ALN :20 tués,10 bléssés,6prisonniers,9 disparus .
Comble du sort, les 6 prisonniers(Garrat Ettaleb) se sont retrouvés ,à la maison centrale d’El Asnam,avec feu mon père Taleb Mahammed ben Khaled(père du chahid MOKHTARI Mohamed,que Dieu ait son âme,(Allah yarham Echouhada).(entre 1957 à 1960,là l’organisation a créé une école au sein de la prison,témoignage de NOURI Bachir(un des survivants de la Bataille de Garet Ettaleb).A noter que l’Organisation de la révolution a continué à activer avec ces hommes .
C’est ainsi que les hommes sont morts pour qu’aujourd’hui ,l’Algérie soit libre et indépendante ,sans qu’on ne donne même pas leur nom à une rue ou à un édifice ou à un symbole,en guise de reconnaissance……..ils sont les martyrs oubliés de l’histoire de notre Pays ………………ce message est destiné aux citoyens de la ville d’El –Bayadh et en particulier aux élus - anciens moujahidine qui ont connu,Feu mon père Ettaleb M'hammed ben Khaled(Kadhi Charii ALN/FLN 56/58).
Je te prie de prendre bien soins et de faire paraître dans la rubrique des Martyrs de la lutte de Libération ,bien à toi et gloire à nos Maryrs,votre compagnon internaute,...............Abderrahmane,
Ils ne sont plus goinffrés au danone et à la pizza comme vous le dites si bien mais à coups de voitures de luxe (ça se passe même ici chez nous)ils ont pignon sur rue et gare à celui qui osera s'attaquer à eux ; protégés qu'ils sont .
le coeur est lourd
j'ai bien lu toutes vos interventions sur les différentes rubriques (commentaires)et je tenais à vous remercier pour votre attention
Pour l'envoi de la photo vous pouvez l'envoyer sur mon mail
tnoureddine@yahoo.fr
Désigné par le FLN d'activer sur l'axe tiaret - El bayadh et responsable de l'OPA à Hassasnas et chef commandos agissant la nuit dans la ville de Saida , responsable de plusieurs attentats contre les bigeariens , pris vivant lors d'un encerclement à la suite d'une information ...il refuse tout avantage , fut executé le 15/01/1961 après un défilé militaire montrant qu'il ont terminé avec le dernier rebelle fellagha.ellah yarham chouhada.
Je ne maitrise malheureusement pas l'anglais mais j'ai cru comprendre que vous faites allusion à votre méssage écrit en arabe et qui est codé malheureusement je n'y peux intervenir c'est un problème du coté d'où j'heberge mon site , je leur ai signalé ce probleme qui j'éspere sera résolu
Merci
cette vidéo en mémoire à nos valeureux chouhadas est vraiment très émouvantes. Ns souhaitons en voir d'autres avec tous nos héros, même vivants, je t'en félicite personnellement car grâce à DIEU et grâce à eux, ns vivons aujourd'hui libres, heureux,...mais ns devons être à la hauteur de leurs objectifs, de leurs rêves,...chapeau Noureddine. ZOUATINE
Par la mème occasion je réitère mon appel pour l'envoi de photos de " CHOUHADAS" pour les publier , jusqu'à présent aucun écho ne m'est parvenu
لقد إنتظرت منك هذه المبادرة و هاهي الأن تتحقق و كم يعجز الإنسان عن التعبير أمام هؤلااء الرجال
فمرة إخرى السيد تومي لقد وفقت في إختيارتك جميعها في كل الميادين التلى أدرجتها في موقعنا هذا و لكن قد كان من المؤسف لولم تدرج هذه الفقرة التى قد نلت بها اسم وطني فا من الأن يجب عليا أن أترك لك هذا اللقب فأرجوا أن تقبله مني
كل إفتخاري سيدي
rabi yarhamhoum et mille fois merci
MERCI
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