CHRONIQUE DU TEMPS QUI PASSE
CHRONIQUE DU TEMPS QUI PASSE
Commentaires (6)
- 1. | dimanche, 07 avril 2013
- 2. | dimanche, 07 avril 2013
Encore moi sur cette page de chronique du temps qui passe mais cette fois-ci pour vous révéler un doux petit secret né lorsque j'ai atterri dans votre "Nostalgie" !!
Plus que toutes les autres , "Géryville" que fut votre ville, que j'ai découvert sur ces photos ne cesse de m'attirer ou je ne cesse de la visiter depuis les tous premiers instants qui me l'ont fait connaitre : mais incroyable comme ils me sont familiers ce décor et cette animation que je n'ai jamais connus ainsi que cette époque que je n'ai jamais vécue non plus !!
Certainement ce sont de vagues souvenirs et histoires que je traîne du village et de l'époque de mon enfance que j'ai la chance de revivre ici avec vous .
Et sans aucun doute qu'il fait bon y vivre, même à travers des photos !!
Plus que toutes les autres , "Géryville" que fut votre ville, que j'ai découvert sur ces photos ne cesse de m'attirer ou je ne cesse de la visiter depuis les tous premiers instants qui me l'ont fait connaitre : mais incroyable comme ils me sont familiers ce décor et cette animation que je n'ai jamais connus ainsi que cette époque que je n'ai jamais vécue non plus !!
Certainement ce sont de vagues souvenirs et histoires que je traîne du village et de l'époque de mon enfance que j'ai la chance de revivre ici avec vous .
Et sans aucun doute qu'il fait bon y vivre, même à travers des photos !!
- 3. | dimanche, 22 juillet 2012
Bon Ramadhan , Géryvillois
- 4. | vendredi, 20 juillet 2012
Ce qui me chagrine c'est la disparition de ce bel arbre qu'est le saule pleureur ( voir photos du lac ) surement que la disparition du lac y est la cause principale , car ce magnifique spécimen pousse au bord de l'eau
- 5. | mardi, 17 juillet 2012
........................... aïe!aïe !comme il fait bon pour y vivre :"Laguermi,une classe et son maître,le courrier,la poste le pont d'Elgraba,le Souk,les infirmiers,une escapade à Bouderga,chez les religieuses,l'hopital,l'équipe de foot ball,la carte postale place Moulay Abdelkader,le lac,la mairie,le jardin public,le cimetière,une forge(dont la porte est toute grande ouverte ,au milieu de cet immeuble),le lac ,encore une deuxième fois et une troisième fois pourquoi pas,le marché,des chameaux ou bien des dromadaires ,c'est bien de dromadaires dont-il s'agit,aïe!comme c'est plein de sentiments et de souvenirs qui vous transportent bien loin et juste à l'époque ou des époques qui vous donnent l'envie de classer dans l'ordre ces images qui ne sont pas étrangères et qui font pleurer des larmes de joie de cette nostalgie qui vous bloque pour longtemps dans cette période cruciale de l'enfance,cette enfance qui n'a pas duré longtemps,oh, mes souvenirs revenez ,ne me quittez pas, je vous prie ,j'ai soif ,j'ai froid ,je me perd ,je vous prie de me trouver le fil que je n'arrive pas à saisir comme il faut............................et cette prise de vue de Brézina ,de la palmeraie de Khèlef,cette image me fait revenir à ma première enfance où enfants nous jouions toute la journée sans se soucier que le jour ne se termine jamais tellement nous nous amusions avec joie et envie que cela dure et dure dans le temps dont nous étions inconscient de ces moments d'amour et de joie ..................................si je devais narrer ces épisodes je ne pourrais jamais terminer! que Dieu compense ma joie et mon envie toujours de vous décrire cette ambiance d'enfants que je languis actuellement .Je vous remercie pour votre patience de vous voir partager avec moi les images confectionnées et choisies par Si Noureddine,le Directeur du site ,je salue tous les internautes qui auront le temps de me lire et à bientôt pour pouvoir vous lire ,je vous remercie , Abderrahmane,
- 6. | vendredi, 13 juillet 2012
Je n'arrive pas à situer la forge sur la photo , si quelqu'un parmi les anciens pouvait nous éclairer sur l'endroit
" Seuls les yeux ne vieillissent jamais : l'âge passe et ne touche pas le regard. "
Citation de Tahar Ben Jelloun ; L'auberge des pauvres - 1997.