RHAT ERRIH (moulin à vent)

 

RHAT ERRIH

( quartier moulin à vent )

Rhat Errih berceau de ma tendre enfance et de souvenirs inassouvis , Rhat errih ma casbah à moi et ses ruelles adjacentes ,
Rhat errih et la fameuse boutique de feu Beidari : boutique où il faisait bon s'assoir entourés de sacs de"klila" de"hermess"
et de dattes" hmeyra" ; boutique embaumée d’agréables senteurs bien de chez nous : de "fliou"de"menthe" et de "dhène pur"
et puis y habitaient beaucoup de vieilles dames les unes égrenant leurs chapelets d'autres distribuant des friandises ; de la
"rouina" à nous autres qui étions à l'époque enfants : distributions qui se faisaient tous les vendredi (jour de la commémoration
des morts) Rhat errih et son fameux guabiou et tout  en contrebas il y avait de jolis vergers pleins d'arbres fruitiers et ses beaux
peupliers où on s’asseyait sous leurs ombrages pour prendre notre première cigarette pour échapper à tout regard indiscret et puis
jaillissait l'eau de partout et me vient à l’esprit l'image de ces dames battant le souf (la laine) à aouinet Belgandi.

Et c'est précisément de l'oued que furent forgées nos personnalités et qui devint notre terrain de jeux de prédilection et c'était le seul
endroit où nous pouvions nous adonner à nos jeux favoris , on fabriquait même des semblants de parachutes au moyen de draps dérobés
Que reste t-il de tout ça ; allez y faites un tour , elle a été désertée par tous ses anciens vrais habitants à savoir les Benali les Hadji les

Dhini les Kadda  Gour et bien d'autres n'y reste que Madjat en véritable dernier des Mohican.

En guise des sources et végétation luxuriante , actuellement c'est un égout à ciel ouvert qui traverse l'ouedsans compter les détritus à toutes
les sauces qui garnissent le fond et les berges de l'oued en plus d'une odeur nauséabonde qui vous coupe le souffle.
Mes pensées vont aussi à tous ceux que je n’ai pas cité

                                                                                                                          Par Noureddine Toumi
                                                                                                                                           Le 05 juin 2007 

                          

 

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Commentaires (70)

Noureddine (webmestre Nostalgie) -  Sur : RHAT ERRIH (moulin à vent)
  • 1. Noureddine (webmestre Nostalgie) - Sur : RHAT ERRIH (moulin à vent) | lundi, 10 juillet 2017
Bonsoir
C'est l'époque des blood sucker, des parvenus, des baguarines et notre silence presque complice y est pour beaucoup
Morose est le présent ainsi que l'avenir
Moulay ali -  Sur : RHAT ERRIH (moulin à vent)
  • 2. Moulay ali - Sur : RHAT ERRIH (moulin à vent) | dimanche, 09 juillet 2017
Tout simplement remercier B.Kamel pour son article.
Cette pratique est devenue une culture.Est-ce possible de changer une culture?La moitie d'un siecle s'est ecoulee.Rien n'a change (pour le mieux) et l'avenir ne sera pas rose,a part pour les "blood sucker"
نور الدين - Sur : RHAT ERRIH
  • 3. نور الدين - Sur : RHAT ERRIH | mardi, 14 février 2012
انا ايضا كنت اسكن ارحاة الريح في اواخر الستينات في مسكن بالقاندي بجوار البحيرة وكان في السكن ثلاثة اسر او اكثر في حوش واحد وكلهم متآخين متحابين وما زلت أذكر وكان عمري انذاك اربع سنوات حينما نريد ان نسمع الى اذان المغرب في رمضان كنا ننظر الى الامام وهو يصعد المئذنة وكانت مئذنة جاع لقربة نراها من يعيد ياحسراه على ذالك الزمن
Nour eddine ( webmestre Nostalgie )
  • 4. Nour eddine ( webmestre Nostalgie ) | samedi, 08 octobre 2011
Avant tout pardon aux fidèles du site , voilà plus de 10 jours que le site connait des imperfections et perturbations suite à une migration d'une nouvelle version qui s'est avérée catastrophique , et a vu la perte de plusieurs rubriques et commentaires , actuellement les admin, travaillent H 24 pour mettre sur rails cette nouvelle version
Il se peut que certains navigateurs ne soient pas compatibles avec cette nouvelle version
Merci de me signaler toute anomalie
Quand à Monsieur Kamel Benameur MERCI pour cet excellent post qui mérite débat et ma foi ça fait toujours rudement plaisir de vous lire , j'y reviendrais plus tard sur ce sujet crucial que vous venez d'évoquer

Je suis en passe de créer une nouvelle rubrique concernant cette crue dévastatrice avec photos et vidéos , malheureusement le manager ne me le permet pas suite à cette version qui n 'est pas encore au point , ça sera partie remise
P/S Après cette catastrophe Les charognards se lèchent les babines ( explication plus tard )
Encore une fois pardon pour tous les désagréments

kamel benameur
  • 5. kamel benameur | vendredi, 07 octobre 2011
non! Elbayadh (Géryville) a été fondé par le Colonel Géry en 1852.La première révolte des oulad Sid Cheikh a débuté en 1864 et la deuxième ,celle de Bouamama en 1881....la première bâtisse érigée c'était la Remonte (larmoud)
Kamel benameur
  • 6. Kamel benameur | vendredi, 07 octobre 2011
A voir l'ampleur de la catastrophe qu'a subi El Bayadh ces jours-ci ,la lettre que j'ai publiée le 11-9-2009 dans le quotidien d'Oran est franchement prémonitoire de cette catastrophe tragique.... aussi je me permets de vous faire ressouvenir de son contenu et tout bayadhi sera convaincu ,la bhira de Carmona a disparu!... qui l'eut cru? :

" Face aux inondations torrentielles qui touchent nos vastes régions
QU’AURAIENT FAIT LES AUTRES ?

De vastes régions, vivant durant toute l’année avec une pluviométrie quasi-nulle, sont de temps à autre soumises, en quelques jours, à des pluies torrentielles suivies d’inondations dévastatrices et meurtrières puis ces régions retrouvent leur aridité et leur sècheresse d’avant la catastrophe. Des milliards de mètres cubes d’eau, tombés du ciel, juste pour dévaster, se dispersent dans la nature sans profit aucun pour l’homme mais ne laissant derrière eux, au contraire, que ruines, larmes et désolation.
Ces calamités naturelles ont le triste mérite de nous dévoiler Ô ! Combien sont immenses l’impéritie et la médiocrité de certains de nos entrepreneurs des ponts et chaussées et de moult travaux ou services commandés par l’Etat à certains vampires qui ont pignon sur rue et qui jouissent d’une impunité assurée… hélas ! hélas ! Sommes-nous tous des cancres voraces ou seulement de fieffés « ghachachines » malgré tous les moyens mécaniques sophistiqués dont le pays dispose et l’enveloppe budgétaire cossue attenante à tous les grands travaux…L’effritement des carreaux de certains trottoirs, un mois après leur réfection, est une attestation éloquente de l’ampleur du « ghouch » délibéré de certains preux entrepreneurs dont la seule divinité qu’ils vénèrent est le profit mal acquis…leur chahada, le jour de leur trépas, devrait être « il n’y a de dieu que le Profit et mon cousin apparatchik bien placé est son prophète ».Amen.
Face aux catastrophes périodiques et imprévues des inondations diluviennes, qu’auraient fait des pays européens ou le Vietnam, par exemple, ou la Chine ou l’Australie, ou le Laos, ou, ou,…?…parce que ces pays n’ont pas de pétrole mais ils ont des idées et parce que leurs « mkhakhs » sont près des centres de décision et n’ont pas pris la clé de l’exil …ils sont écoutés, écoutés sans complexe. C’est le secret de leur réussite en tout ce qu’ils entreprennent pour dompter ou atténuer les courroux de la nature, nature qui ne demande qu’à servir les hommes mais des hommes doués d’une intelligence pratique et ceux qui ont une intelligence collective inventive assaisonnée d’un amour réel de leur pays…les hommes qui sanctifient leur pays un peu plus que leurs coffres, leurs bedaines, leurs mioches et leur tribu… bien sûr !... Les hommes pour qui l’Algérie n’est pas seulement qu’une vache que des rentiers jamais assouvis ne cessent de traire depuis 1962 ou une prise de chasse bien grosse et bien grasse que des prédateurs affamés dépècent à qui mieux mieux. Les idées, nous en avons, nous aussi, et aussi valables que les leurs…. alors du NIF ! Voyons !, voyons ! Ce qu’auraient fait, ces autres :
Ils auraient bloqué, sur toutes leurs longueurs et tous les 300 m environ, de l’amont à l’aval, tous les ravins et ravinets qui alimentent les oueds par des gabions qui astreindront les eaux à couler de cascade en cascade au lieu de couler en torrent fougueux dévastateur (un gabion est un grand panier parallélépipédique fait de grillage galvanisé rempli de moellons et de gros cailloux) çà peut être fait à mains d’ouvriers ou comme travaux d’utilité publique par des détenus non dangereux pour la société (comme çà, ils seraient méritants de toute remise de peine pour service rendu à leur pays) et çà ne coûte pas cher et ce n’est pas des travaux de titans. Je citerai un exemple vivant : à El Bayadh, l’oued qui traverse la ville allait faire disparaître à jamais les quartiers Rhat Errih et Oued Elferrane sous les coups de butoir des crues torrentielles répétitives et imprévisibles, on a réussi durant les années 55 et 56 à dévier le lit de notre fougueux torrent en installant des gabions en escalier, encore visibles aujourd’hui et les deux quartiers ont ainsi échappé au désastre et à l’effacement et… c’était le début de l’insurrection nationale. Le colonisateur aurait pu s’en foutre car c’était des quartiers « indigènes ». A l’époque les journaliers qui y ont travaillé, étaient payés en semoule, sucre et huile de table, faute de budget, il n’y avait pas de milliards de dollars à gogo comme aujourd’hui. L’oued tenait, coûte que coûte, à retracer son lit et traverser la ville en ligne droite et emporter deux quartiers populeux. Ces quartiers existent toujours et j’y ai passé mon enfance et ma jeunesse sans plus jamais craindre les fureurs de cet oued imprévisible. Cet oued qui était naguère serti, sur ses deux rives, d’un chapelet de jardins potagers luxuriants sur près de six kilomètres, où un petit ruisseau d’ eau limpide y coulait à longueur d’année, où les femmes de tout âge venaient laver leur linge et leur laine qu’elles laissaient sécher sur le sable doré de l’oued, où , enfants, on y jouait à cache cache dans ses sous-bois touffues et où les retenues d’eau servaient de piscines naturelles, pas trop profondes pour être dangereuses, où beaucoup d’enfants y apprenaient à nager et à plonger du haut d’un « keff »…La végétation luxuriante de notre Oued était la petite Amazonie touffue de notre enfance jusqu’aux années 60 …, Aujourd’hui, cet oued n’est plus qu’un vaste cloaque nauséabond serpentant la ville, où se déversent une multitude d’égouts. Plus de sable fin doré, plus de galets brillant au soleil, plus de femmes roucoulant, par petits groupes à l’ombre de peupliers et de saules majestueux, attendant leur laine ou leur linge sécher, plus de nuées d’enfants aux cris joyeux barbotant dans les « glettes » tout n’est que ruines, immondices, moustiques et odeurs pestilentielles d’effluves d’égouts, égouts dégueulant leurs eaux noirâtres à l’air libre.
Revenons à nos gabionn’ss comme dirait Topaze chez Marcel Pagnol. Entre un mur en béton et des gabions c’est l’histoire du chêne et du roseau qui se répète. Le mur en béton se déchausse à sa base et s’écroule sous son propre poids, un gabion adossé à un autre gabion résiste et ne s’écroule pas, il plie et ne rompt pas ….Les gabions de Rhat Errih sont toujours là depuis 1956 pour le certifier et convaincre les sceptiques sur ces ouvrages simples et bon marché.( Là où il n’y a pas « el ghouch », cet ogre vorace et insatiable et l’incompétence, cette qualité suprême des « jiyeh », tout réussit. Voilà pourquoi nos trottoirs sont refaits tous les 6 mois et nos rues une fois bitumées leur goudron s’effrite et part en poussière, aussitôt).
Quel est le principal intérêt de ces gabions si faciles à ériger ? Ces gabions briseraient la vitesse d’écoulement des eaux, permettant à celles-ci d’avoir le temps de s’infiltrer dans les sous sols et enrichir les nappes souterraines car les nappes souterraines sont plus vastes que le plus grand des barrages.et on verra naître alors au flanc des monticules et des collines, des sources d’eau limpide qui couleront à longueur d’année, comme c’était jadis et une végétation permanente poussera autour de ces points d’eau. Ces gabions, érigés tout au long des ravins et petits rus, bloqueront l’érosion des sols et on verra apparaître une végétation variée qui fixera la terre au sol et les eaux, arrivant avec une vitesse réduite aux divers barrages, ne charrieront plus ces millions de tonnes de terre qui envasent chaque année nos barrages ou n’iront pas s’étaler dans les immenses chotts de notre pays pour s’évaporer inutilement et ensuite retomber en pluie sous d’autres cieux.
Lorsque j’ai vu la beauté et le vaste plan d'eau du barrage de Larouiya à Brezina (El Bayadh),cet ouvrage grandiose en plein désert, mon cœur s’est empli de joie, d’admiration et d’extase, puis une crainte s’est vite emparé de moi et mon cœur s’est resserré lorsque je me suis dit : « si ce barrage paradisiaque est rempli, chaque année, par des oueds en crue, charriant sable et terre, son plan d’eau va se rétrécir et s’envaser, puis disparaitre dans quelques années et se transformer en un immense terrain plat, sec et aride ».Ses concepteurs ont-ils pensé à lui éviter ce triste sort ?... me suis-je demandé, espérant que oui. Parce qu’en Algérie, je le crie partout : on n’est pas tous des imbéciles, ni que d’anciens cancres des bancs de l’école, recyclés par le ben-amisme incurable et le népotisme prédateur.
On peut aussi ériger, chaque fois que le relief le permet, de grands barrages de terre armée, armée des racines d’arbres judicieusement choisis qu’on plantera sur la digue de retenue...Je prends un exemple que j’ai visité moi-même en Europe: Dans le sud-est de la France le barrage de Serre-Ponçon (édifié en 1960) est un barrage de terre avec un plan d’eau de 28 km2 et qui a été conçu pour réguler les crues dévastatrices des Hautes-Alpes, sa capacité est aujourd’hui de 1,400 milliard de m3, il n’a pas coûté très cher et il est le 2ème lac artificiel d’Europe. Il suffit d’avoir des idées au bon endroit et au bon moment. D’autres nations ont dompté des fleuves plus fougueux que nos chétifs oueds…quelquefois avec des moyens rudimentaires faisant appel juste aux mains nues d’hommes et de femmes et à des astuces ancestraux avec des budgets squelettiques …et c’est une réalité et non du folklore ou une fiction, ni encore un slogan creux d’une compagne électorale perdue d’avance.
Les chinois, les vietnamiens l’ont fait avec des couffins d’osier, des brouettes en bambou. Nous, nous avons des moyens mécaniques et l’argent suffisants pour le faire au niveau de chaque commune, de chaque daïra, de chaque coin et recoin de notre vaste pays…car notre Etat n’est pas avare en budgets. Et notre pays sera sauvé et, par là même, l’agriculture sera dopée, car l’agriculture est la seule vraie richesse renouvelable donc inépuisable, elle retrouvera un nouvel essor, une nouvelle dynamique…car les énergies fociles ne sont pas éternelles…il faut penser à nos générations futures et ne pas avoir pour devise « après moi, le déluge, mes coffres en Suisse sont mon refuge»…Que ceux qui ont un peu d’amour pour ce beau pays sachent et retiennent :…avec le réchauffement de la Terre, attendons-nous à des pluies torrentielles diluviennes suivies de sècheresse un peu partout sur la planète…finis les pluies douces et continues et les belles neiges d’antan…et l’oncle Sam n’est pas encore prêt à diminuer l’effet de serre des gaz que rejettent dans l’atmosphère ses industries polluantes.et encore moins l’oncle Ho.
Que chacun sache aussi, je le répète encore, que, nous, algériens ne sommes pas tous des imbéciles, ni des attardés mentaux, ni des débiles dont la seule science se limite à l’excellence dans les arts de la rapine, des détournements, des factures truquées, et de l’incorrigible ben-amisme et autre abus de pouvoir institutionnalisé nommé « hogra » qui peut transformer en un rien moins de temps, un petit commis, auquel l’Etat fait pleine confiance, en un milliardaire prédateur, inculte et arrogant…D’ailleurs le luxe des voitures que conduisent leurs mioches et des châtelets qu’ils érigent n’a pas besoin de vous dévoiler le reste …ces voitures infirment toute diffamation prétendue. Nos ripous essaimés ça et là, sont tellement propres de toute concussion qu’ils rejoignent chaque matin et quittent leur travail l’après midi à bicyclette ou à mobylette Guelma.et pour joindre les bouts de mois il y a heureusement l’épicier du coin qui leur fait crédit…Je l’affirme et persiste :Dans mon pays , tout le monde il est propre ,tout le monde il est gentil,…la concussion c’est les autres. Quels autres ?...je ne sais pas.
Ce qu’auraient fait les autres pour leur pays, nous pouvons nous aussi, le faire pour venir à bout des inondations et des crues dévastatrices suivies de longs mois de sécheresse. Au moins, qu’on ait la volonté ferme de minimiser la dangerosité de ces calamités périodiques que tout le monde commence à craindre et à redouter...surtout dans les zones à risque.
Qui m’entendra ? That is the question... ce sera tout celui qui porte en son cœur ce beau pays si malmené par une canaille ingrate, une canaille qui fait un pied de nez magistral aux serments de novembre 54, une canaille qui y vit en sangsues et en prédateurs, une canaille qui ne pense qu’à ses milliards et ses magouilles, qui bloquent l’industrialisation du pays, par ses importations de pacotilles, de médicaments contrefaits, de fausses pièces détachées meurtrières et…dont les mioches vivent déjà en marge de ce valeureux peuple qui a engendré ses héros mythiques tels Bel’mhidi, Benzerdjeb, Zabana, Lotfi, Amirouche, et d’autres et d’autres,…un peuple qui a subi une colonisation douloureuse, longue et génocidaire et une décolonisation encore plus meurtrière et longue aussi, n’en déplaise aux négationnistes pervers, ce terreau fertile à la félonie que le pays subit aujourd’hui..hypothéquant son avenir dans un monde impitoyable et sans morale…qu’est le monde d’aujourd’hui.
Kamel B (Oran)

Publié par le quotidien d’Oran le 11 novembre 2009
Nour-eddine (webmestre Nostalgie )
  • 7. Nour-eddine (webmestre Nostalgie ) | lundi, 09 mai 2011
Oh ! mon Dieu je n'en reviens pas j'ai rencontré Beydari celui que je citais dans la rubrique et qui tenait une boutique à Rhat Errih, je n'en reviens pas je le croyais décéder , je ne l'avais pas revu depuis belle lurette , j'ai pleuré à chaudes larmes , toujours égal à lui même , Rabi taoual fi omrake

P/S Merci Aribi pour votre passage
ARIBI MOHAMED
  • 8. ARIBI MOHAMED (site web) | lundi, 09 mai 2011
esalem ya si NOUREDINE votre pere est L'ami de mon pere rabi yerhmou
merci pour ce grand site (ARIBI D'alger)
touati kada
  • 9. touati kada | dimanche, 17 avril 2011
bon jour je m'appelle Touati Abdelkader.
-J'ai 35 ans.
-la première porte a gauche c'est de ma ancienne maison moi et touts mes grand frères née dans cette maison.
fatima zidouri
  • 10. fatima zidouri | vendredi, 08 avril 2011
Assalamou alaaikoum.
Ce message est pour B.bachir.
J'ai lu votre commentaire au sujet de mes freres Mohamed et Abdelwahab Zidouri, et de mon pere rahmatou llah alaih. Je voudrais bien avoir vos cordonnes pour que je puisse communiquer avec vous, si vous n'y voyer pas d'inconvenience. mon email est fzidouri@gmail.com
JazakALlah
bachir belgandi
  • 11. bachir belgandi | jeudi, 07 avril 2011
pour une première visite du site je dois avouer qu'il me plonge dans l'antique, le real, le fustige et le tendre el bayadh d'antan,ou seule la fierté de l'homme libre et le nif compté,...ahhhh,douceurs et senteurs de l'enfance passée au sein d'une famille ou reignait le sourire, la bravour et autres plaisirs devenues une rareté, j'aimerai contribuer par quelques documents peut ètre dans les jours prochains, en tout cas une fois ouvert ce site on plonge dans un univers tendre déconnecté de cette lacitude qui nous étouffe ...merci des attaches et à plus tard
Noureddine ( webmestre Nostalgie )
  • 12. Noureddine ( webmestre Nostalgie ) | mardi, 29 mars 2011
Le dernier des mohicans que j'ai cité dans cette rubrique " MADJAT" s'est éteint il y a de celà une dizaine de jours dans l'anonymat le plus total.
Rhat errih est orpheline , bravo à ce monsieu qui n'a jamais quitté ce quartier mythique jusqu'à son dernier souffle
Rhat Errih est orpheline pour de bon
Puisse Dieu tout puissant vous agréer dans son vaste paradis
Paix Inchallah à votre âme
Mansour Laoufi
  • 13. Mansour Laoufi | lundi, 28 mars 2011
Bonjour;
Je viens de découvrir ce site grâce à une recherche que je faisais pour chercher quelqu'un de ma famille.
Juste pour vous dire que c'est vraiment bien super.Bravo et longue vie à votre site. Je le garde dans mes favoris.
Laoufi Mansour
  • 14. Laoufi Mansour | lundi, 28 mars 2011
Je suis Laoufi Mansour ould Abdelkader oul Ali oul Cheikh ould Slimane. j'habite à Mostaganem mais mes encetres sont de la région d'El Bayadh, malheureusement nous ne connaissons personne, car mon grand père est venu vers 1890 à Mostaganem.
le tombeau de sidi Slimane, mon arrière grand père est dans cette région.
abdelhamid KAMEL
  • 15. abdelhamid KAMEL | lundi, 10 janvier 2011
je suis très fier de l'ergonomie du site et de tous les articles , j'aimerai voir le moulin à vent si par hasard quelqu'un aurait de vieilles photos d'ElBayadh
siham meriem
  • 16. siham meriem | samedi, 18 décembre 2010
salut a tous,
pouvez vous nous parler davantage de cet ancien cartier qui est malheureusement devenue meconnaissable.
avec la nouvelle construction qui a effacé et a amoché la ville
ça serais mieux de poster des photos aussi et de nous raconter de petites anecdotes je suis sur que ça vous fera sourire
laoufi djelloul
  • 17. laoufi djelloul | mardi, 16 novembre 2010
je suis bien djelloul laoufi et j'habite a drancy
laoufi djelloul
  • 18. laoufi djelloul | lundi, 15 novembre 2010
je suis bien djelloul oueld cheikh dont le pere est mort par accident.j'hbite a drancy .qui es-tu toi qui connais si bien la famille.vive les geryvillois.
Med
  • 19. Med | dimanche, 14 novembre 2010
MESSAGE 56 DE LAOUFI Djelloul.
Je crois que vous avez un lien de parenté avec Laoufi Djelloul ould Chikh qui prète à confusion avec votre nom. L'intéressé habitait Ksar Atchane. Il avait comme frère Abdelaziz et un soeur dont je ne me souviens pas très exactement du prénom. Il me semble Fatima. Ils ont tous disparus de Géryville. Leur père Chikh est décédé dans un accident de voiture : au virage apèrs le pont cassé de khouneg au moment où il s'apprêtait à visiter la foire d'ElAbiodh sidcheikh. Si tu as de ces coordonnées n'hésite pas à en tenir informer. merci !
laoufi djelloul
  • 20. laoufi djelloul (site web) | jeudi, 11 novembre 2010
je suis natif de geryville plus exactement a ksar el atchane dans les annees 1940. am el boun .je suis super content qu il y a des gens qui s interessent à geryville .merci beaucoup.

De Dait dehane Allal
  • 21. De Dait dehane Allal | samedi, 30 octobre 2010
bjr mes felicitations pour ce site.
est ce que vous vous souvenez des chahids de 19-03-1962?
Noureddine (webmestre Nostalgie)
  • 22. Noureddine (webmestre Nostalgie) | mardi, 12 octobre 2010
Bienvenue cher Salim , je vois que vous êtes de rhat Errih , j'avais par le passé comme voisin si maâmar ould EL HADJ TAHAR Allah yarhmou , il était formidable , bosseur , il ouvrait de bon matin sa boutique , je me souviens qu'il laissait éxprès une bonne quantité de blé devant sa boutique qui faisait le régal des pigeons et des moineaux , la boutique regorgeait de bédouins venus faire leur emplette les jours de souk , que de senteurs je garde de cette boutique : du fliou , d'azir el bel , avec la disparition de ce grand monsieur c'est tout un pan de ma tendre enfance qui s'en va avec.
Que Dieu l'accueille en son vaste paradis
NB/à Med
Quelle époque inoubliable moi surtout ce qui me faisait le plus plaisir c'était les sorties et les campements au Boudergua , il n'y avait que du beau monde j'y pense à nos ainés Bekkari Noureddine , il y avait Abdelkrim dit CHnéoua " Le chinois" il faisait office d'éclaireur , il raffolait de la vie militaire et que j'ai eu le plaisir de revoir il n'y a pas si lgtps alors que je l'avais perdu depuis plus de vingt ans , il est actuellement à Dir El hassiane , que de nuits passées à la belle étoile au milieu de grandes touffes d'alfa ,il y avait la chasse au djarboue ( gerboise) la cueillette de Krine jday de telma del guize et bien d'autres plantes , on avait la langue et les lèvres toutes vertes , il y avait aussi la cueillette des glands sur le majestueux Boudergua de l'époque , c'était l'école de la vie et nos poumons regorgeaient de cet air si pur de ksel et de Boudergua , ça me rend triste de voir nos enfants les yeux rivés sur ce maudit tube cathodique.
Il y avait aussi les jeux de délivri ( je pense que ça vient du mot délivrer ) et quand il n'y avait pas grand chose à faire éreintés par des courses sans fin on se rabattait sur les fameuses chauve souris et le fameux " Boubiira hake tmeyra ( Chauve souris tiens cette datte ) , pour les plus riches d'entre nous il y avait l'emprunt des bicyclettes de fortune chez Germani et Zine Alah yarhmou c'était 50 centimes la demi heurre et 1 Frc l'heure , gare aux retardateurs ils risquaient une féssée
Merci de m'avoir rappeller cette époque bénie
MeD
  • 23. MeD | mardi, 12 octobre 2010
Bonjour mon frère A. Mokhtari,
J'ose empiéter ton pas pour te rappeler des jeux que certainement tu as pratiqué à la "tahtaha" ou au "sog" ils sagit de ceux inoubliables que tu as (disons) ignoré :
- Les billes ;
- Les boules ;
- "Ennouwacha"
- La toupie
benhaouachi salim
  • 24. benhaouachi salim | lundi, 11 octobre 2010
je vous remercie monsieur Toumi d'avoir ouvert ce site les internautes d'el bayadh naviguent pour connaitre les differentes facettes de la culture beidhi grace à ce site jai pu découvrir divers peuplades qui sont succedeés sur notre ville jai pu savoire que el bayadh fut habiteé par les pieds noire et q' elle fut fondeé par gèry en 1846 apres la chute de la revolte de ouled sid cheikh votre site nous plonge dans les méandres de l' histoire
Mohamed  BOUSDEIR
  • 25. Mohamed BOUSDEIR | lundi, 15 mars 2010
MERCI A VOUS TOUS, QUE DE BEAUX SOUVENIRS DE NOS BEAUX QUARTIERS DU PASSE
mokhtari miloud et son fils kamel
  • 26. mokhtari miloud et son fils kamel | dimanche, 14 mars 2010
merci mon ancle pour tous les efforts que tu a fait pour n offre toute ces informations , a tous ceux ecrivent dans cet espace et surtous pour MR Toumi L administateur de ce site qui nous interesse nous tousse les vrais " wled el bladd " de cette belle ville d EL BAYADH .
chikhaoui belinda
  • 27. chikhaoui belinda | samedi, 06 mars 2010
merci à toi abderrahmane pour ce beau témoignage qui nous permet de découvrir vos souvenirs et qui aideront les générations futures à comprendre leur origine et à caresser des images à la fois poignantes et généreuses merci également à monsieur Toumi pour cette belle initiative qui nous permet de nous plonger dans une époque que nous n'avons pas eut la chance de connaitre
Tadjeddine M A
  • 28. Tadjeddine M A | jeudi, 04 mars 2010
Merci TOUMI allah yahafdak
BEKKARI
  • 29. BEKKARI | mercredi, 24 février 2010
SALUT BACHIR VOUS ETES ET VOUS RESTEREZ TOUJOURS NOTRE GUIDE COMME DANS LE PASSE (SMA) VOUS ETES L'ENCYCLOPEDIE DE GERYVILLE COMME NOUS L'AVAIT DIT UN JOUR "ESSER"
Abderrahmane MOKHTARI
  • 30. Abderrahmane MOKHTARI | mardi, 16 février 2010
Ya Si Bachir je suis content que tu nous offre ta plume et que tu rejoins les amis internautes ,les protecteurs de la nature et je t'exprime mes hommages et mes respects et je suis ému que tu me rappelle feu Maatah,mort au maquis ,à côté de mon frère Mohammed le 13 avril 1957. Allah yarhamhoum et sans oublier les comgnons d'armes morts avec eux pour la patrie( gloire aux martyrs de notre pays) C'est terrible ya Si Bachir si je te disais que je me rappelais de hièt si Maatah Allah yarhmèh avait une épicerie ou une boucherie à zounkèt elhamassa et de oued Elffaranne je me rappelle seulement des Tennah,des Hafnaoui ould si Otmane qui avait une boutique à Rhat Errih(au coin de la rue Tirman),et je me rappelle de la souiga où se vendait le bois sous forme de peits fagos(Elhalhal,Elkarrouche,Ettaga....etc .........)pour la baptisation des rues aux noms des glorieux chouhadas,je te prie de te rendre sur la rubrique Ksar El Ghassoul pour y apprécier ce qui a été décidé au sujet de feu mon frère et d'autres ,c'est une trahison qui est faite à nos glorieux chouha da .Plusieurs années ,après nous nous apercevons de l'horreur,de la destruction des repaires et symboles de notre beau pays à savoir: la source miraculeuse d'Elmahboula, de l'église,des arbres séculaires,des essences du barrage vert(exemple:Le Crapaud.......) et beaucoup d'autres endroits et de monuments des chouhada qui ne sont même pas signalés et j'en passe ,je vous prie de vous rappeler de la fameuse plaque de Garet Ettaleb à moitié détruite qui portait une date fausse de la bataille de Garet Ettaleb qui a eu lieu le 13 avril 1957(je rappelle ,ici,que cette date a été corrigée,grace à la vigilance et à la correction de si Bachir B auquel je rends un grand hommage .)
Je pofite de cette ,occasion,pour inviter les internautes d'El Bayah et d'ailleurs ,de nous rejoindre pour nous faire profiter de leurs données et de leurs idées qui sont bel et bien nombreuses .J'ajouterai ,comme d'habitude,pour prier les amies et les amis internautes ,de contribuer à aider si Noureddine dans son travail et que je salue énergiquement pour les efforts qu'il fournità longueur de journée ,et à travers plusieurs rubriques du site . Je salue ,ici,à partir de cet espace,toutes les amies et les amis internautes et patriotes de notre pays et gloires à nos glorieux chouhada !!!!!!!.........!!!!!!!....... Votre compagnon pour toujours et à très bientôt pour lire vos appréciations , Abderrahmane,
B.Bachir
  • 31. B.Bachir | lundi, 15 février 2010
Une pensée aussi à Mohamed Zidouri,frère ainé de Abdelwahab,mon ami d'enfance à Oued El Ferrane,décédé il y a quelques années .Perdus de vue à cause des épreuves de la guerre de libération,nous nous sommes retrouvés dix ans après,orphelins de guerre,au lycée de Sidi Bel Abbès(BAC 1968)pour continuer comme étudiants à Alger.Mohamed était diplomé de l'ENA et ancien wali de Ouargla.
B.Bachir
  • 32. B.Bachir | lundi, 15 février 2010
Abderahmane,bonjour et bravo pour la rétrospective sur RHAT ERRIH.Refais nous en une sur le quartier voisin de Oued el Ferrane!Tu dois bien ça à la mémoire au chahid MAATAH mort avec ton frère Mhammed au combat de Garet Ettaleb le 13 Avril 1957. Pour Boubekeur,Zidouri Abdelwahab habite Alger et a fait sa carrière dans la diplomatie.Demande auprès de la famille AOUAD qui sont ses beaux-parents. Zidouri Belgacem,dont Zounqet el Hamassa porte le nom, n'est pas leur père,mais de sa famille.Son père,Dine Ben Jelloul Aspirant Mabrouk de l'ALN, est mort en Mars 1960.Son oncle,AEK Ben Jelloul,Lieutenant Kheirdine et responsable politique de la ZoneIII,est mort en Février 1960.Aucune rue ou etablissement ne leur est dédié!En ce 50ème anniversaire de leur sacrifice pour la patrie, ayons au moins une pensée pour eux ainsi que pour les nombreux chahids oubliés de cette ville martyrisée.
BEKKARI BOUBEKEUR
  • 33. BEKKARI BOUBEKEUR | dimanche, 14 février 2010
MILLE PENSEES A MON FEU FRERE HMIDA AOUAD JE CHERCHE UNE ANCIENNE FAMILLE DE RHAT ERRIH LES ZIDOURI ET SURTOUT ABDELWAHAB .(zounkot Elhamassa)PORTE LE NOM DE LEUR PERE CHAHID
BEKKARI BOUBEKEUR
  • 34. BEKKARI BOUBEKEUR | samedi, 13 février 2010
MERCI TOUS DE NOUS AVOIR REVEILLE
Fatiha
  • 35. Fatiha | jeudi, 11 février 2010
En vous lisant, on vous revoit enfants, heureux et ce bonheur transperce à travers vos écrits.

Vous m'avez fait partager un moment d'émotions intenses, et je vous envie en vous lisant car vous avez évoqué vos souvenirs communs qui vous ont rappelé de très bons souvenirs.

Merci pour ces magnifiques récits.

Fatiha
CHIKHAOUI Mekki
  • 36. CHIKHAOUI Mekki | lundi, 11 janvier 2010
Bonjour à tous ceux qui écrivent dans cet espace et merci à Mr Toumi Nourredine pour cette initiative d'échange.
Merci à Mr Mokhtari Aberrahmène pour sa contribution et s'il peut nous donner l'origine de "jemlenbi"? Pourquoi la tribut d'ouled moumen ramassait des fonds et pour les envoyez à qui?
Mekki, le 11/01/2010
CHIKHAOUI Selma
  • 37. CHIKHAOUI Selma | lundi, 11 janvier 2010
Merci mon ancle MOKHTARI abderrahmane,pour cette présentation de notre origine...
Aberrahmane MOKHTARI
  • 38. Aberrahmane MOKHTARI | dimanche, 10 janvier 2010
et attendez-moi.....je......m'excuse celui qui recevai l'argent de la quète de la waada des Oulèd Moumen "Jemlenbi" s'appelait " elmouttaouef" je m'excuse et à bientôt.
abderrahmane mokhtari
  • 39. abderrahmane mokhtari | dimanche, 10 janvier 2010
bonjour,essallama allékoum,essbaelkheir,ceci pour poursuivre mon message de mon Rhat Errih que je ne peux garder pour moi seulement car je suis de ceux qui donnent et qui reçoivent en échange ,je suis pour la culture,pour la véritable communication,surtout pour l'historique,pour en faire profiter les générations montantes et pour se désaltérer dans la source véritable,pour toujours savoir plus.Ce concept possede chez moi une certaine représentation et me rappelle,les nuits d'été,devant notre petite maison,sur le trottoir nous étalons des couvertures et nous plaçions des coussins car mon père invitait ses amis le soir,pour un thé 71 agrémenté de caccaouettes.Ces soirées d'échange et de communication se passaient pour une grande partie de la nuit car ma mère faisait bouillir l'eau sur "un majmar"pour la préparation du thé des invités de marque et à moi revenait la corvée de ramener le grand plateau de cuivre plein de verres et du nécessaire ,entre autre ,la théière et les boites de sucre,de menthe etc....et l'assiette de caouccaouettes et attention comment les installer tout doucement à l'endroit voulu car la crainte d'être corrigé par mon père planait dans l'air .Après le service je me retirais dans un coin de la petite courette en attendant la prochaine corvée mais je restais à l'écoute d'un signal de mon père .La maman subissait,la chaleur des braises du majmar,tout juste à côté d'elle pour une longue partie de la nuit.Des séances pareilles se répétaient plusieurs fois en été .Et puis je vous fait revenir quelques pas en arrière,pour vous parler de ces personnages qui habitaient dans le quartier de Rhat Errih ou bien pour certains d'entre eux du côté de Oued Elferranne .Il y a Ramdhane ,ce bel homme ,un des Chakkai,pour moi,c'était un sage ,pour d'autres un malade mental.Comme son visage ressemblait à celui de ,Marx,parfois à ceux de Pasteur ou Victor Hugo;c'est cette représentation que j'avais ,de lui,dans mon esprit.je me rappelle que mon père l'invitait pour,le ftour,le repas de rupture du jeun.La famille lui réservait une table pour lui seul .le premier met une zlafa de hrira (un grande assiète creuse de soupe)fumante,qu'il entamait en criant Allah,Allah,ehhhh,ehhh,bismi Allah,bismi Allah,cette situation nous faisait rire,nous les enfants.Ce n'est qu'après des années après que j'ai compris par la suite qu'il avait beaucoup faim et qu'il assouvissait ce besoin naturel.les frères et d'autres enfants voisins riaient et se moquaient de lui;mis à la vue demon père qui brandisait le martinet,tout se tait .le personnage de"Ramdhane"m'a toujours donner l'envie d'observer son visage qui portait une barbe de saint vénéréet son front sillonné de trois rides paralèles .C'est étonnant,comme la ressemblance avec Marx était apparente au moment où il vous fixe du regard .Les gens leprenaient pour un derhuitche ,mais il était respecté .Il y avait aussi une autre personne qui me facinait si Jelloul qui boitait,le crieur public de la cité ,qui donnait toujours des informations claires et précises pour les circonstances .Il faisait de la véritable communication à la population qui l'écouter à son passage.C'est le sieur Bouhssida qui l'a remplacé pour ce travail .Et à la prochaine fournée mon si Noureddine Toumi.
mokhtari Abderrahmane
  • 40. mokhtari Abderrahmane | samedi, 09 janvier 2010
Notre enfance se sont les jeux de saison:hiver et été,à El Bayadh éxistent 2 saisons tandis que le printemps et l'automne ne durent qu'un laps de temps.Alors les jeux ceux de violence se sont "la guerre de quartier" à l'exemple de celle que nous avons vécu avec nos aînés :la guerre du quartier de Erhat Errih ou "tiers état"contre le quartier "standard"ou"la bourgeoisie"du côté de la mairie et de la caserne ,j'avais à peine 10 ans,ce conflit où nous avons assisté à des véritables blesses et même à des fracturés du côté des deux parties béligérantes,mais souvent ces accidents sont dûs à des pierres ou des "gallèbs"(parpaings)qui se trouvaient rangés devant les maisons,qui sont utilisés comme prjectils par les combattants,à l'exemple de la perte de plusieurs m3,ceux allignés devant la maison de la famille de si Kaddour ould Elamia qui le lendemain en rassemblant les restes des gallèbs ,criait et jurait à qui veut l'entendre qu'il allait attraper les auteurs du gachi. Les autres jeux ,et,ils sont nombreux:saute mouton ,délivré,laethabèche latnabèche(se passait la nuit),essig,eddama,le jeu des billes,la retraîte aux flambeaux avec les serceaux et des boites metalliques en feu et même la clique mimée par la bouche des joueurs ,le jeu du mendiant ou le concerné se mettait devant la porte en se lamentant"donnez moi une poignée de couscous " "aatouny etaam fi sabillah",un autre jeu dangeureux que j'allais oublier "le jeu à l'aide d'une boite de concerve vide qu'on remplissait de carbure ajoutée à de l'eau et bien bouchée et qui explosait juste après,alors attention à celui qui ne s'est pas abrité un peu loin . Un autre jeu violent celui de la bagarre entre deux éléments de l'équipe du quartier,la scène se passait dans le souk,qui,se trouvait entre Erhat Errih et l'hopital,là ,on mettait les 2 gars ,l'un en face de l'autre et pour les exciter à se battre ,nous chantions ensemble "elkèbda tèbda ouel karcha tercha"cad le courageux commence et le frileux abandonne"et,bien entendu tous les autres jeux de quartier :la course,les parties de foot ball,les autres jeux à l'oued juste à côté de chez nous et les randonnées vers Eksel,ou le pont cassé à 2 klm ,sur la route qui va vers Bouktoub,il y a aussi les divertissements,le meddah,le cinéma ,les mariages et les couses hippiques,ceux des chevaux et des meharras(chameaux)à Mrérrass vers le petit Méchéria et sur le passage Chaabet Ekhadem.et j'en passe et les Ouaddas par tribu,celle des Oulèd Moumen c'était la ouadda de"jemlèn Ennabi"le chameau du prophète ,j'ai un souvenir vague.......l'argent rassemblé était envoyé par l'intermédiaire des pelerins (hedjèj) à la Mècque à l'intention du Mouraffaa.
mokhtari  abderrahmane
  • 41. mokhtari abderrahmane | vendredi, 08 janvier 2010
Si je me rappelle de notre quartier Rhat Errih,c'est à partir de 1949 jusqu'à 1958.Ces années de braises se sont passées comme un clun d'oeil.
Noureddine ( webmestre Nostalgie)
  • 42. Noureddine ( webmestre Nostalgie) | jeudi, 07 janvier 2010
waouhhh
Drole j'ai éssayé même le copier coller de votre commentaire en désactivant cette fonction sur le site rien que pour faire passer votre méssage mais sans résultat , alors que vs teniez tant à ce que ce méssage passe ça m'a couté plus d'une demi heure de frappe pour l'éditer mais bon je l'ai fait avec plaisir
je ne sais comment que les messages ne passent pas chez vs , c'est tres simple il suffit:
De taper votre nom
pour l'émail c'est comme vs vs voulez le faire apparaitre ou non
A la fin vs avez le champ de sécurité à gauche là où il ya des lettres et des chiffres, vous tapez et non proceder à un copier collerà votre droite les lettre et les chiffres du champ de sécurité le tout en majuscule puis vs cliquez sur envoyer et le tour est joué
je vs retrouverai plus tard pour le commentaire intéressant que vs venez de développer
Mes amitiés Noureddine
Mokhtari Abderrahmane
  • 43. Mokhtari Abderrahmane | jeudi, 07 janvier 2010
à si Noureddine TOUMI
Je commence par te renouveller mes amitiés le meilleures,et que Dieu fasse que cette année soit pour toi et ta famille une année de bonheur et de santé , de prospérité et de réussite dans ton travail que tu déploies pour servir la communauté des inernautes en general et des Baydhi en particulier , pourquoi pas l'humanité toute entière.Comme prévu je n'ai pu t'envoyé ma reponse sur Rhat errih par le code ( les caracteres du site )hélas j'ai fait,j'ai rédigé plusieurs papiers , mais je ne suis pas arriver à les faire passer , je me decide à l'envoyer à ton email,et te prie de le faire figurer sur le site de rhat errih merci . De son vrai nom "Rhat Errih" , quartier se trouvant à la limite de l'oued,pour les habitants de l'ancienne ville de geryville et El-bayadh actuellement.Ce nom d'origine coloniale date du debut du 20 siecle avec l'appelation"moulin Ferradou certainement du nom de son createur,son proprietaire.Ce dernier devait etre un colon français de la partie nord de la France.J'ai connu ce quartier depuis mon enfance car tous nos jeux , notre scolarité,notrre vie familiale,nos miseres , nos joies,nos.....se sont passés dans cette Haouma et qui s'appelait aussi pour les vértibles habitants de Rhat Errih"le quartier du tiers état"c'ést à dire ce n'était pas la bourgeoisie , mais la partie humble de la population , toujours dans notre langage de natifs du quartier.Sûr de moi même et comme vous le diront les anciens de Rhat Errih . Cette cité est composée de se trouvant de part et d'autre de la rue Tirman (actuellement rue khemisti)attendez moi jusqu'à la limite de l'épicerie de monsieur Hafnaoui Otmane et comprenons d'une part ; les Bourane , les Mokhtari ,les Aoued , les kadiri,les Chellali,les Hamidi(avec le fameux bain maure toujours là,bain tres ancien comme hammam Agrouba pas loin d'El-mahboula )les Seddouki ,la gargotte de si Bahos el hammes , les Hafnaoui ,l'épicerie de si otmane,les Hamitou avec la boulangerie de Si Tayeb qui faisait face à oulmed mouy ettayeb,les Nasri , el Hadj Aissa à l'angle , de nouveau les Hamitou ,les hadja Gaouta ? Les Chikhaoui,la mederssa de si Abdelkader Tadjeddine,imam à l'angle des Goudjil,les si El habib juste en face de la maison de fissian sayad cet illustre bonhomme alllait tous les matins aux premières lueurs de l'aube , chercher un sceau d'eau à la fontaine pour la premiere priere celle de sobh , les mahboubi dit El hadj cheikh Benkaoum qui possedait un don de guérrir les moutons , les bêtes en general comme un veterinaire,les Mokhtari si tayeb Echikki et la boucle est fermée pour la partie droite de la rue Tirman.Et comprenant d'autre part , juste en face de Bourane et à la fameuse fontaine publique du coin de la rue Tirman,les Nehari Hadj Kaddour oueld El Ammia qui avait plusieurs métiers de menuisier , bourrelier , maçon et fabriquait lui même ses galeb genre de parpaings fait avec du sable , un matériau local et le faisait secher juste devant sa maison ,je me rappelle bien les Hadid, la maison de El hadj mohamed ould El hadj Benouda,en face de la petite maison de chez nous,les Kassemi directeur et imam et directeur de l'école coranique,les Mahjoub avec le camion toujours garé devant la maison ,les 2 grandes maisons de Tayebi , celle du cadi Tayebi El Hadj ahmed bekkadour,avec son bureau d'assurances ,les Tadjeddine si Abdelkader immam et directeur de l'école coranique , les Cheikh El moumni avec son épicerie face à la gargotte de Saddouki si bahos d'en face , les chekai mohamed lui aussi gere une epicerie vient alors l'illustre si Mohamed essayem , soufi et qui jeunait toute l'année,il faisait tailleur et pour beaucoups de clients,nous contournons et suivons le paté, de maisons,ls Benchachoue qui était caid des ouled Omrane,nous contournons la maison qui contournait les Tayebi,les Bekri et au bout les dine Benjelloul et juste en face de la maison occupée par les Ben hergal, nous nous trouvons le bloc de maisons , perpendiculaire à la rue Tirman,les laribi si abdelkader connu comme taxi du quartier,le garage des Tayebi , les Fatna,connue à l'hopital militaire à l'époque et qui était malade mentale à la suite d'une aventure amoureuse,les Allel mohamed chauffeur à la commune mixte,les Mansour El hadj mohamed,les Echeriet ,les hadj Moussa,les sayad,si tayeb el fessiane,les Bentayeb , les slimane ould K?QUI HABITAIT DANS UN GRAND HAOUCH , nous contournons et juste apres les Bouazza les kadda gour sans oublier les Kamel qui habitaient qui habitaient de part et d'autre de la petite ruelle et jusqu'à la fin des maisons.Je me rappelle que si Kaddour Nehari avait un jardin au bord de l'oued avec un local où il rangait son materiel de travail.Nous reculons et trouvons taleb Allal et puis c'est la maison des Toumijuste en face les Benhergal,c'est là où se situe le quartier de Rhat Errih bien sur il ne faut oublier (Ettahtaha)entre les Hamitou et le grand souk des bestiaux d'avant.Je crois que c'est construit à mon humble sens et ma connaissance, c'est l'ancienne Rhat Errih.Merci ya Si TOUMI et à tres bientot sur la suite de Rhat Errih.
Noureddine ( webmestre Nostalgie  )
  • 44. Noureddine ( webmestre Nostalgie ) | vendredi, 09 octobre 2009
Malheureusement c'est la vérité cruelle de tout ce que vous venez d'évoquer.
Les beaux peupliers que vous venez décrire n'éxistent plus , en guise de sources limpides c'est des eaux nauséabondes charriées par tous les égouts de cette ville qui devient de plus en plus sale et qui traverssent l'oued et dont les odeurs en temps de chaleurs parviennent jusqu'aux quartiers limitrophes " oued el ferrane... cet havre de paix par le passé est devenu un véritable enfer pour les vrais ouled leblad et qui ne savent à quel saint se vouer
Merci pour votre passage
Une pensée à nos ainés Mokhtari - Noureddine kamel et bien d'autres que ne pourrai tous évoquer
Kamel  B
  • 45. Kamel B | vendredi, 09 octobre 2009
A El Bayadh, l’oued qui traverse la ville allait faire disparaître à jamais les quartiers Rhat Errih et Oued Elferrane sous les coups de butoir des crues torrentielles répétitives et imprévisibles, on a réussi durant les années 55 et 56 à dévier le lit de notre fougueux torrent en installant des gabions en escalier, encore visibles aujourd’hui et les deux quartiers ont ainsi échappé au désastre et à l’effacement et… c’était le début de l’insurrection nationale. Le colonisateur aurait pu s’en foutre car c’était des quartiers « indigènes ». A l’époque les journaliers qui y ont travaillé, étaient payés en semoule, sucre et huile de table, faute de budget, il n’y avait pas de milliards de dollars à gogo comme aujourd’hui. L’oued tenait, coûte que coûte, à retracer son lit et traverser la ville en ligne droite et emporter deux quartiers populeux. Ces quartiers existent toujours et j’y ai passé mon enfance et ma jeunesse sans plus jamais craindre les fureurs de cet oued imprévisible. Cet oued qui était naguère serti, sur ses deux rives, d’un chapelet de jardins potagers luxuriants sur près de six kilomètres, où un petit ruisseau d’ eau limpide y coulait à longueur d’année, où les femmes de tout âge venaient,en toute sécurité, y laver leur linge ou leur laine qu’elles laissaient sécher sur le sable doré de l’oued, où , enfants, on y jouait à cache cache dans ses sous-bois touffues et où les retenues d’eau servaient de piscines naturelles, pas trop profondes pour être dangereuses, où beaucoup d’enfants y apprenaient à nager et à plonger du haut d’un « keff »…La végétation luxuriante de notre Oued était la petite Amazonie touffue de notre enfance jusqu’aux années 60 …, Aujourd’hui, cet oued n’est plus qu’un vaste cloaque nauséabond serpentant la ville, où se déversent une multitude d’égouts. Plus de sable fin doré, plus de galets brillant au soleil, plus de femmes roucoulant, par petits groupes à l’ombre des peupliers attendant leur laine ou leur linge sécher, plus de nuées d’enfants aux cris joyeux barbotant dans les « glettes » tout n’est que ruines, immondices, moustiques et odeurs pestilentielles d’effluves d’égouts, égouts dégueulant leurs eaux noirâtres à l’air libre.Un nostalgique de cette belle ville si verdoyante naguère, devenue crasseuse et sale et surtout peu sure,vue la délinquance galopante qui y règne aujourd'hui.
BOURENANE Abdelaziz
  • 46. BOURENANE Abdelaziz | vendredi, 07 août 2009
Bonjour à tout le monde
noureddine  KAMEL
  • 47. noureddine KAMEL | vendredi, 17 avril 2009
GERYVILLE c'est notre passé plein de souvenir de notre enfance ,nous qui avions vécu la guerre de 54 à 62 entouré de barbelé et le couvre feu à partir de 18h , les nuits ou la soldatesque coloniale nous entassé au marché(sough) sous le froid et le jlid ou actuellement a été érigé une école et le cinéma ksel chaque fois qu'il y avait un attentat contre des "beiyaas"(collabo).Nos enfants doivent savoir que la vie à l'epoque n'etait que stress et angoisse et qu'aujourd'hui nous devons toucher du bois pour cette liberté chérement recouvré
noureddine  kamel
  • 48. noureddine kamel | jeudi, 19 février 2009
un souvenir d'un ancien de rhat errih et des louveteaux dont j'etais le guide et qui doivent se rappeller les sorties à boudergha en juillet 1963 et dont je me rappelle certains noms : badreddine hamitou, lakhel,etc . nous sommes natifs de ce quartier depuis 1954
que sont devenus les anciens eclaireurs sahariens
HAFIANE musta
  • 49. HAFIANE musta | vendredi, 28 novembre 2008
merci SAYAD DE CE RAPELLE ,mais SAYAD qui?allal !vraiment ça me manque les acteurs de RHAT ERRIH et M°SARIA LAREDJ;avec les sorties (camping) vers BOUDERGA et les soirées avec le oud(luth),si NOUREDINE vous avez oublié KAMEL ABDELHAMID C'et le proches de BOUAZZA BACHIR,belles surprises monsieur TOUMI BRAVO pour tout ce que vous faite MERCI.
Noureddine
  • 50. Noureddine | jeudi, 24 juillet 2008
Oh que non je n'oublierais jamais toutes ces magnifiques personnes et surtout nos ainés que j'admire et que je salue au passage
sayad
  • 51. sayad | jeudi, 24 juillet 2008
salam mr toumi et mr kamel ci toumi tu a oublier les bouazza les chakai les bouchaiba m hamed double tete et bouabia allah yarhmah merci mon frere pour ton site
hamou
  • 52. hamou | samedi, 31 mai 2008
merci toumi pour le site et honnetement tu m'as donné la réponse au sujet de la guerre entre guerraba et oued elferrane ;bonne continuation et à plus de sujets et photos inchallah;permettez-moi de vous féliciter et d'adresser un salut d'honneur à tous les géryvillois (ses) de la part d' un nordiste qui a grandi à EL-BAYADH ( qui a joué au foot et chasser de gerboise dans le fameux champs des amandiers actuellement quartier Louze ). Merci et Bravo.
KAMEL Benameur
  • 53. KAMEL Benameur | mardi, 20 mai 2008
Me voici ,me voilà....,Kamel Benameur ,fils de "Rhat Errih", instituteur à l'Ecole de Garçons de 61 à 62 (Aujourd'hui CEM Ben Badis) salue chaleureusement ses anciens élèves et tous ses compagnons et amis de jeunesse. Pour moi, Incorrigible nostalgique d'El bayadh d'antan ,le vrai Bayadh est dans nos coeurs depuis qu'on a fait disparaitre la MAHBOULA, ce cachet sublime qu'on croyait inviolable et èternel...où sont les neiges d'antan?..tout n'est que '3zadj et sables rempants...Ah!" Lkhneg", ce long poême de verdure ,serti jusqu'au "pont cassé" de jardinets n'est aujourd'hui que ruine et désolation...
B.HADJI
  • 54. B.HADJI | jeudi, 06 mars 2008
AU FAIT QU'EST DEVENU M.KAMEL QUI ENSEIGNAIT LE FRANCAIS AU CEG MERCI POUR CE SITE MERVEILLEUX
hmida
  • 55. hmida | mercredi, 01 août 2007
salamou aalikoum. c est notre voisin de droite un brun avec des lunettes.le fils cadet de hadj ahmed soutar
TOUMI.N
  • 56. TOUMI.N | samedi, 28 juillet 2007
SALUT HMIDA
Je t'assure que je ne le situe pas,la mémoire
commence à flancher peut etre et si tu me donnais quelques repères
HMIDA
  • 57. HMIDA | samedi, 28 juillet 2007
SALAMAALIKOUM.COMMENT NE PAS CONNAITRE ABDELHAMID C'EST UN FRERE UN VOISIN , ENFIN UN PUR PARMIS D'AUTRES. NOUREDDINE IL YA DEUX FAMILLES KAMEL à RHAT ERRIH .
TOUMI.NOUREDDINE
  • 58. TOUMI.NOUREDDINE | vendredi, 27 juillet 2007
BIENVENU CHER KAMEL
Je suis l'administrateur de ce site et en meme temps natif de ce quartier mais je n'arrive pas à vous situer ;j'ai quelques photos de ce quartier récentes mais qui ne méritent pas d'étre publiées tellement ce quartier a subi des dégradations
Au plaisir de vous revoir
KAMEL abdelhamid
  • 59. KAMEL abdelhamid | jeudi, 26 juillet 2007
j'ai été trés heureux de tomber sur ce site qui me rappelle mon quartier où j'ai vécu jusqu'en 1965. est-ce-qu'il n'y a pas de photo du moulin à vent . merci
ZIHOUF  Tayeb
  • 60. ZIHOUF Tayeb | mardi, 26 juin 2007
Bien sur que je me rappelle puisqu'il s'agit de BERRABAH ALI et c'est un parent à moi - Il nous enseignait l'histoire et avait le petit doigt tjrs crochu -Dieu nous pardonne on en a fait des bétises avec nos profs lui en particulier - Mais c'était beau et innoncent
Mohamed
  • 61. Mohamed | samedi, 23 juin 2007
Donc, j'ai répondu juste, le 12/06/07,lorsque j'ai dis que ces endroits se trouvaient à coté des terrain ou on faisait la ( guèrre) " leshab legraba " à l'époque c'était "srawette "maintenant c'est un nouveau quartier, je ne sais pas comment il s'appel.
Pour : TAYEB, es-ce-que tu te souviens du prof. que l'on surnomé "HADHARI" et qui passait son temps de libre, au magasin de ton père?
M d'oued el-ferran
  • 62. M d'oued el-ferran | mercredi, 13 juin 2007
cher noureddine vous avez oublié de citer les jeux des nuit de ramadhan ( dirivli ).
les sorties vers ouled yahia et les fritte omellettes que vous avez preparé .
Mohamed
  • 63. Mohamed | mardi, 12 juin 2007
si je me souviens bien,"Telaat les indiens, et telaat les cow boy", se trouvaient à coté du terrain de guerre" fi sraouettes "
tu avais un cousin Moussa, je croix, son père avait le moulin à blé, du coté du CEG ibn Badis. qu'es'ce qu'il devient ?
TOUMI.NOUREDDINE
  • 64. TOUMI.NOUREDDINE | mardi, 12 juin 2007
SALUT HAMOU
Au fait te souviens-tu de "Talaat les cow boy et de "Talaat les indien"(cite moi l’endroit si tu as bonne mémoire) .Je salue au passage nos ainés à savoir les BEKKARI(Noureddine et boubakeur) ABDELKRIM(qui habite actuellement à DIR EL HESSIANE,HIBA Med qui au passage avait fabriqué un semblant de parachutes...à tous ces êtres chers je lance un grand bonjour et je leur dis je vous aime beaucoup et vous admire
PAIX A VOUS OU QUE VOUS SOYEZ
P/S On sortait presque tjrs vainqueurs
HAMOU
  • 65. HAMOU | mardi, 12 juin 2007
AU fait pourquoi, on faisait ( la guère ) entre Legraba et Oued el ferrane, et tout le mois de ramdane ??
hmida
  • 66. hmida | lundi, 11 juin 2007
rhat errih ,joyeuse enfance,innocence.rhat errih une bonne partie de foot au souk au bestiaux et comme avant centre brahim kribaa .rhat errih sinueuse,un chemin qui monte, une descente vers ain belgandi.rhat errih la neutre pendant la guerre entre graba et oued el farane.
TOUMI.N
  • 67. TOUMI.N | lundi, 11 juin 2007
cher h'mida
ça vous a chatouillé l'évocation de rhat errih,c'est bien que vs portiez encore ds le coeur votre quartier
TOUMI.N
  • 68. TOUMI.N | dimanche, 10 juin 2007
Salut h'mida
je t'ai reconnu dès les premiers instants,comment vas-tu ? tu résides où actuellement?
hmida
  • 69. hmida | dimanche, 10 juin 2007
salut noureddine ,pour me situer c est tres facile, une porte qui etait au sud ,maintenant elleest à l est.moi pour t atteindre je monte et je descent la pente.au sommet il ya le moulin à vent.
hmida
  • 70. hmida | jeudi, 07 juin 2007
merci Noureddine pour cet éspace .ce que jai remarqué en evoquant GERYVILLE ca chatouille il ya des allergiques.pour nous ce n est qu un arret sur image .une enfance .des souvenirs .notre ville à nous un instant de retrouvailles. un des fils du moulin à vent.

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