RHAT ERRIH (moulin à vent)
RHAT ERRIH
( quartier moulin à vent )
Rhat Errih berceau de ma tendre enfance et de souvenirs inassouvis , Rhat errih ma casbah à moi et ses ruelles adjacentes ,
Rhat errih et la fameuse boutique de feu Beidari : boutique où il faisait bon s'assoir entourés de sacs de"klila" de"hermess"
et de dattes" hmeyra" ; boutique embaumée d’agréables senteurs bien de chez nous : de "fliou"de"menthe" et de "dhène pur"
et puis y habitaient beaucoup de vieilles dames les unes égrenant leurs chapelets d'autres distribuant des friandises ; de la
"rouina" à nous autres qui étions à l'époque enfants : distributions qui se faisaient tous les vendredi (jour de la commémoration
des morts) Rhat errih et son fameux guabiou et tout en contrebas il y avait de jolis vergers pleins d'arbres fruitiers et ses beaux
peupliers où on s’asseyait sous leurs ombrages pour prendre notre première cigarette pour échapper à tout regard indiscret et puis
jaillissait l'eau de partout et me vient à l’esprit l'image de ces dames battant le souf (la laine) à aouinet Belgandi.
Et c'est précisément de l'oued que furent forgées nos personnalités et qui devint notre terrain de jeux de prédilection et c'était le seul
endroit où nous pouvions nous adonner à nos jeux favoris , on fabriquait même des semblants de parachutes au moyen de draps dérobés
Que reste t-il de tout ça ; allez y faites un tour , elle a été désertée par tous ses anciens vrais habitants à savoir les Benali les Hadji les
Dhini les Kadda Gour et bien d'autres n'y reste que Madjat en véritable dernier des Mohican.
En guise des sources et végétation luxuriante , actuellement c'est un égout à ciel ouvert qui traverse l'ouedsans compter les détritus à toutes
les sauces qui garnissent le fond et les berges de l'oued en plus d'une odeur nauséabonde qui vous coupe le souffle.
Mes pensées vont aussi à tous ceux que je n’ai pas cité
Par Noureddine Toumi
Le 05 juin 2007
Commentaires (70)
- 1. | lundi, 10 juillet 2017
- 2. | dimanche, 09 juillet 2017
Cette pratique est devenue une culture.Est-ce possible de changer une culture?La moitie d'un siecle s'est ecoulee.Rien n'a change (pour le mieux) et l'avenir ne sera pas rose,a part pour les "blood sucker"
- 3. | mardi, 14 février 2012
- 4. | samedi, 08 octobre 2011
Il se peut que certains navigateurs ne soient pas compatibles avec cette nouvelle version
Merci de me signaler toute anomalie
Quand à Monsieur Kamel Benameur MERCI pour cet excellent post qui mérite débat et ma foi ça fait toujours rudement plaisir de vous lire , j'y reviendrais plus tard sur ce sujet crucial que vous venez d'évoquer
Je suis en passe de créer une nouvelle rubrique concernant cette crue dévastatrice avec photos et vidéos , malheureusement le manager ne me le permet pas suite à cette version qui n 'est pas encore au point , ça sera partie remise
P/S Après cette catastrophe Les charognards se lèchent les babines ( explication plus tard )
Encore une fois pardon pour tous les désagréments
- 5. | vendredi, 07 octobre 2011
- 6. | vendredi, 07 octobre 2011
" Face aux inondations torrentielles qui touchent nos vastes régions
QU’AURAIENT FAIT LES AUTRES ?
De vastes régions, vivant durant toute l’année avec une pluviométrie quasi-nulle, sont de temps à autre soumises, en quelques jours, à des pluies torrentielles suivies d’inondations dévastatrices et meurtrières puis ces régions retrouvent leur aridité et leur sècheresse d’avant la catastrophe. Des milliards de mètres cubes d’eau, tombés du ciel, juste pour dévaster, se dispersent dans la nature sans profit aucun pour l’homme mais ne laissant derrière eux, au contraire, que ruines, larmes et désolation.
Ces calamités naturelles ont le triste mérite de nous dévoiler Ô ! Combien sont immenses l’impéritie et la médiocrité de certains de nos entrepreneurs des ponts et chaussées et de moult travaux ou services commandés par l’Etat à certains vampires qui ont pignon sur rue et qui jouissent d’une impunité assurée… hélas ! hélas ! Sommes-nous tous des cancres voraces ou seulement de fieffés « ghachachines » malgré tous les moyens mécaniques sophistiqués dont le pays dispose et l’enveloppe budgétaire cossue attenante à tous les grands travaux…L’effritement des carreaux de certains trottoirs, un mois après leur réfection, est une attestation éloquente de l’ampleur du « ghouch » délibéré de certains preux entrepreneurs dont la seule divinité qu’ils vénèrent est le profit mal acquis…leur chahada, le jour de leur trépas, devrait être « il n’y a de dieu que le Profit et mon cousin apparatchik bien placé est son prophète ».Amen.
Face aux catastrophes périodiques et imprévues des inondations diluviennes, qu’auraient fait des pays européens ou le Vietnam, par exemple, ou la Chine ou l’Australie, ou le Laos, ou, ou,…?…parce que ces pays n’ont pas de pétrole mais ils ont des idées et parce que leurs « mkhakhs » sont près des centres de décision et n’ont pas pris la clé de l’exil …ils sont écoutés, écoutés sans complexe. C’est le secret de leur réussite en tout ce qu’ils entreprennent pour dompter ou atténuer les courroux de la nature, nature qui ne demande qu’à servir les hommes mais des hommes doués d’une intelligence pratique et ceux qui ont une intelligence collective inventive assaisonnée d’un amour réel de leur pays…les hommes qui sanctifient leur pays un peu plus que leurs coffres, leurs bedaines, leurs mioches et leur tribu… bien sûr !... Les hommes pour qui l’Algérie n’est pas seulement qu’une vache que des rentiers jamais assouvis ne cessent de traire depuis 1962 ou une prise de chasse bien grosse et bien grasse que des prédateurs affamés dépècent à qui mieux mieux. Les idées, nous en avons, nous aussi, et aussi valables que les leurs…. alors du NIF ! Voyons !, voyons ! Ce qu’auraient fait, ces autres :
Ils auraient bloqué, sur toutes leurs longueurs et tous les 300 m environ, de l’amont à l’aval, tous les ravins et ravinets qui alimentent les oueds par des gabions qui astreindront les eaux à couler de cascade en cascade au lieu de couler en torrent fougueux dévastateur (un gabion est un grand panier parallélépipédique fait de grillage galvanisé rempli de moellons et de gros cailloux) çà peut être fait à mains d’ouvriers ou comme travaux d’utilité publique par des détenus non dangereux pour la société (comme çà, ils seraient méritants de toute remise de peine pour service rendu à leur pays) et çà ne coûte pas cher et ce n’est pas des travaux de titans. Je citerai un exemple vivant : à El Bayadh, l’oued qui traverse la ville allait faire disparaître à jamais les quartiers Rhat Errih et Oued Elferrane sous les coups de butoir des crues torrentielles répétitives et imprévisibles, on a réussi durant les années 55 et 56 à dévier le lit de notre fougueux torrent en installant des gabions en escalier, encore visibles aujourd’hui et les deux quartiers ont ainsi échappé au désastre et à l’effacement et… c’était le début de l’insurrection nationale. Le colonisateur aurait pu s’en foutre car c’était des quartiers « indigènes ». A l’époque les journaliers qui y ont travaillé, étaient payés en semoule, sucre et huile de table, faute de budget, il n’y avait pas de milliards de dollars à gogo comme aujourd’hui. L’oued tenait, coûte que coûte, à retracer son lit et traverser la ville en ligne droite et emporter deux quartiers populeux. Ces quartiers existent toujours et j’y ai passé mon enfance et ma jeunesse sans plus jamais craindre les fureurs de cet oued imprévisible. Cet oued qui était naguère serti, sur ses deux rives, d’un chapelet de jardins potagers luxuriants sur près de six kilomètres, où un petit ruisseau d’ eau limpide y coulait à longueur d’année, où les femmes de tout âge venaient laver leur linge et leur laine qu’elles laissaient sécher sur le sable doré de l’oued, où , enfants, on y jouait à cache cache dans ses sous-bois touffues et où les retenues d’eau servaient de piscines naturelles, pas trop profondes pour être dangereuses, où beaucoup d’enfants y apprenaient à nager et à plonger du haut d’un « keff »…La végétation luxuriante de notre Oued était la petite Amazonie touffue de notre enfance jusqu’aux années 60 …, Aujourd’hui, cet oued n’est plus qu’un vaste cloaque nauséabond serpentant la ville, où se déversent une multitude d’égouts. Plus de sable fin doré, plus de galets brillant au soleil, plus de femmes roucoulant, par petits groupes à l’ombre de peupliers et de saules majestueux, attendant leur laine ou leur linge sécher, plus de nuées d’enfants aux cris joyeux barbotant dans les « glettes » tout n’est que ruines, immondices, moustiques et odeurs pestilentielles d’effluves d’égouts, égouts dégueulant leurs eaux noirâtres à l’air libre.
Revenons à nos gabionn’ss comme dirait Topaze chez Marcel Pagnol. Entre un mur en béton et des gabions c’est l’histoire du chêne et du roseau qui se répète. Le mur en béton se déchausse à sa base et s’écroule sous son propre poids, un gabion adossé à un autre gabion résiste et ne s’écroule pas, il plie et ne rompt pas ….Les gabions de Rhat Errih sont toujours là depuis 1956 pour le certifier et convaincre les sceptiques sur ces ouvrages simples et bon marché.( Là où il n’y a pas « el ghouch », cet ogre vorace et insatiable et l’incompétence, cette qualité suprême des « jiyeh », tout réussit. Voilà pourquoi nos trottoirs sont refaits tous les 6 mois et nos rues une fois bitumées leur goudron s’effrite et part en poussière, aussitôt).
Quel est le principal intérêt de ces gabions si faciles à ériger ? Ces gabions briseraient la vitesse d’écoulement des eaux, permettant à celles-ci d’avoir le temps de s’infiltrer dans les sous sols et enrichir les nappes souterraines car les nappes souterraines sont plus vastes que le plus grand des barrages.et on verra naître alors au flanc des monticules et des collines, des sources d’eau limpide qui couleront à longueur d’année, comme c’était jadis et une végétation permanente poussera autour de ces points d’eau. Ces gabions, érigés tout au long des ravins et petits rus, bloqueront l’érosion des sols et on verra apparaître une végétation variée qui fixera la terre au sol et les eaux, arrivant avec une vitesse réduite aux divers barrages, ne charrieront plus ces millions de tonnes de terre qui envasent chaque année nos barrages ou n’iront pas s’étaler dans les immenses chotts de notre pays pour s’évaporer inutilement et ensuite retomber en pluie sous d’autres cieux.
Lorsque j’ai vu la beauté et le vaste plan d'eau du barrage de Larouiya à Brezina (El Bayadh),cet ouvrage grandiose en plein désert, mon cœur s’est empli de joie, d’admiration et d’extase, puis une crainte s’est vite emparé de moi et mon cœur s’est resserré lorsque je me suis dit : « si ce barrage paradisiaque est rempli, chaque année, par des oueds en crue, charriant sable et terre, son plan d’eau va se rétrécir et s’envaser, puis disparaitre dans quelques années et se transformer en un immense terrain plat, sec et aride ».Ses concepteurs ont-ils pensé à lui éviter ce triste sort ?... me suis-je demandé, espérant que oui. Parce qu’en Algérie, je le crie partout : on n’est pas tous des imbéciles, ni que d’anciens cancres des bancs de l’école, recyclés par le ben-amisme incurable et le népotisme prédateur.
On peut aussi ériger, chaque fois que le relief le permet, de grands barrages de terre armée, armée des racines d’arbres judicieusement choisis qu’on plantera sur la digue de retenue...Je prends un exemple que j’ai visité moi-même en Europe: Dans le sud-est de la France le barrage de Serre-Ponçon (édifié en 1960) est un barrage de terre avec un plan d’eau de 28 km2 et qui a été conçu pour réguler les crues dévastatrices des Hautes-Alpes, sa capacité est aujourd’hui de 1,400 milliard de m3, il n’a pas coûté très cher et il est le 2ème lac artificiel d’Europe. Il suffit d’avoir des idées au bon endroit et au bon moment. D’autres nations ont dompté des fleuves plus fougueux que nos chétifs oueds…quelquefois avec des moyens rudimentaires faisant appel juste aux mains nues d’hommes et de femmes et à des astuces ancestraux avec des budgets squelettiques …et c’est une réalité et non du folklore ou une fiction, ni encore un slogan creux d’une compagne électorale perdue d’avance.
Les chinois, les vietnamiens l’ont fait avec des couffins d’osier, des brouettes en bambou. Nous, nous avons des moyens mécaniques et l’argent suffisants pour le faire au niveau de chaque commune, de chaque daïra, de chaque coin et recoin de notre vaste pays…car notre Etat n’est pas avare en budgets. Et notre pays sera sauvé et, par là même, l’agriculture sera dopée, car l’agriculture est la seule vraie richesse renouvelable donc inépuisable, elle retrouvera un nouvel essor, une nouvelle dynamique…car les énergies fociles ne sont pas éternelles…il faut penser à nos générations futures et ne pas avoir pour devise « après moi, le déluge, mes coffres en Suisse sont mon refuge»…Que ceux qui ont un peu d’amour pour ce beau pays sachent et retiennent :…avec le réchauffement de la Terre, attendons-nous à des pluies torrentielles diluviennes suivies de sècheresse un peu partout sur la planète…finis les pluies douces et continues et les belles neiges d’antan…et l’oncle Sam n’est pas encore prêt à diminuer l’effet de serre des gaz que rejettent dans l’atmosphère ses industries polluantes.et encore moins l’oncle Ho.
Que chacun sache aussi, je le répète encore, que, nous, algériens ne sommes pas tous des imbéciles, ni des attardés mentaux, ni des débiles dont la seule science se limite à l’excellence dans les arts de la rapine, des détournements, des factures truquées, et de l’incorrigible ben-amisme et autre abus de pouvoir institutionnalisé nommé « hogra » qui peut transformer en un rien moins de temps, un petit commis, auquel l’Etat fait pleine confiance, en un milliardaire prédateur, inculte et arrogant…D’ailleurs le luxe des voitures que conduisent leurs mioches et des châtelets qu’ils érigent n’a pas besoin de vous dévoiler le reste …ces voitures infirment toute diffamation prétendue. Nos ripous essaimés ça et là, sont tellement propres de toute concussion qu’ils rejoignent chaque matin et quittent leur travail l’après midi à bicyclette ou à mobylette Guelma.et pour joindre les bouts de mois il y a heureusement l’épicier du coin qui leur fait crédit…Je l’affirme et persiste :Dans mon pays , tout le monde il est propre ,tout le monde il est gentil,…la concussion c’est les autres. Quels autres ?...je ne sais pas.
Ce qu’auraient fait les autres pour leur pays, nous pouvons nous aussi, le faire pour venir à bout des inondations et des crues dévastatrices suivies de longs mois de sécheresse. Au moins, qu’on ait la volonté ferme de minimiser la dangerosité de ces calamités périodiques que tout le monde commence à craindre et à redouter...surtout dans les zones à risque.
Qui m’entendra ? That is the question... ce sera tout celui qui porte en son cœur ce beau pays si malmené par une canaille ingrate, une canaille qui fait un pied de nez magistral aux serments de novembre 54, une canaille qui y vit en sangsues et en prédateurs, une canaille qui ne pense qu’à ses milliards et ses magouilles, qui bloquent l’industrialisation du pays, par ses importations de pacotilles, de médicaments contrefaits, de fausses pièces détachées meurtrières et…dont les mioches vivent déjà en marge de ce valeureux peuple qui a engendré ses héros mythiques tels Bel’mhidi, Benzerdjeb, Zabana, Lotfi, Amirouche, et d’autres et d’autres,…un peuple qui a subi une colonisation douloureuse, longue et génocidaire et une décolonisation encore plus meurtrière et longue aussi, n’en déplaise aux négationnistes pervers, ce terreau fertile à la félonie que le pays subit aujourd’hui..hypothéquant son avenir dans un monde impitoyable et sans morale…qu’est le monde d’aujourd’hui.
Kamel B (Oran)
Publié par le quotidien d’Oran le 11 novembre 2009
- 7. | lundi, 09 mai 2011
P/S Merci Aribi pour votre passage
- 8. | lundi, 09 mai 2011
merci pour ce grand site (ARIBI D'alger)
- 9. | dimanche, 17 avril 2011
-J'ai 35 ans.
-la première porte a gauche c'est de ma ancienne maison moi et touts mes grand frères née dans cette maison.
- 10. | vendredi, 08 avril 2011
Ce message est pour B.bachir.
J'ai lu votre commentaire au sujet de mes freres Mohamed et Abdelwahab Zidouri, et de mon pere rahmatou llah alaih. Je voudrais bien avoir vos cordonnes pour que je puisse communiquer avec vous, si vous n'y voyer pas d'inconvenience. mon email est fzidouri@gmail.com
JazakALlah
- 11. | jeudi, 07 avril 2011
- 12. | mardi, 29 mars 2011
Rhat errih est orpheline , bravo à ce monsieu qui n'a jamais quitté ce quartier mythique jusqu'à son dernier souffle
Rhat Errih est orpheline pour de bon
Puisse Dieu tout puissant vous agréer dans son vaste paradis
Paix Inchallah à votre âme
- 13. | lundi, 28 mars 2011
Je viens de découvrir ce site grâce à une recherche que je faisais pour chercher quelqu'un de ma famille.
Juste pour vous dire que c'est vraiment bien super.Bravo et longue vie à votre site. Je le garde dans mes favoris.
- 14. | lundi, 28 mars 2011
le tombeau de sidi Slimane, mon arrière grand père est dans cette région.
- 15. | lundi, 10 janvier 2011
- 16. | samedi, 18 décembre 2010
pouvez vous nous parler davantage de cet ancien cartier qui est malheureusement devenue meconnaissable.
avec la nouvelle construction qui a effacé et a amoché la ville
ça serais mieux de poster des photos aussi et de nous raconter de petites anecdotes je suis sur que ça vous fera sourire
- 17. | mardi, 16 novembre 2010
- 18. | lundi, 15 novembre 2010
- 19. | dimanche, 14 novembre 2010
Je crois que vous avez un lien de parenté avec Laoufi Djelloul ould Chikh qui prète à confusion avec votre nom. L'intéressé habitait Ksar Atchane. Il avait comme frère Abdelaziz et un soeur dont je ne me souviens pas très exactement du prénom. Il me semble Fatima. Ils ont tous disparus de Géryville. Leur père Chikh est décédé dans un accident de voiture : au virage apèrs le pont cassé de khouneg au moment où il s'apprêtait à visiter la foire d'ElAbiodh sidcheikh. Si tu as de ces coordonnées n'hésite pas à en tenir informer. merci !
- 20. | jeudi, 11 novembre 2010
C'est l'époque des blood sucker, des parvenus, des baguarines et notre silence presque complice y est pour beaucoup
Morose est le présent ainsi que l'avenir