environnement

CHONPS
CHONPS

le mercredi, 20 août 2014 à 15:13 Citer ce message

http://www.larousse.fr

[DOSSIER]

Résumé du dossier
Entourée par la fine couche de l’atmosphère, la Terre abrite des millions d’espèces d’êtres vivants. Parmi eux, l’espèce humaine (et ses quelque 6,5 milliards d’individus) contribue depuis plusieurs décennies à la dégradation de cet environnement siège de la vie, la biosphère. Les zones de concentration de population que sont les zones urbaines et industrielles sont particulièrement polluées, mais cette pollution n’a que faire des frontières et, par les vents et les déplacements des couches atmosphériques, la pollution de l’air voyage et menace les régions les plus reculées. Le dioxyde de carbone, à l'origine de l’effet de serre, est responsable du réchauffement climatique, dont on connaît les déséquilibres écologiques qu’il induit. D’autres polluants s’accumulent dans l’air, qui créent des maladies respiratoires et des allergies. La couche d’ozone de la stratosphère, qui protège la Terre des rayons ultraviolets nocifs est attaquée par certains gaz. Les écosystèmes aquatiques sont eux-mêmes souillés par une pollution qui s’immisce partout par le cycle de l’eau. La consommation d’eau potable s’accroît sans cesse, seul 1 % des 2,8 % d’eau douce que comprend l’hydrosphère n’est disponible pour la consommation. Au rythme où elles sont exploitées, les ressources naturelles n’ont plus le temps de se renouveler (déforestation, disparition des espèces marines). Les réserves d’énergie fossile ne sont pas inépuisables, alors que l’énergie renouvelable (solaire, éolienne) ne semble pas en mesure pour l’heure de remplacer les énergies fossiles. Si tous les pays de la Terre avaient le niveau de vie des États-Unis, il faudrait plus de 5,5 planètes Terre pour continuer à assurer les mêmes conditions d’existence. Essayer de trouver des solutions environnementales implique de partager les ressources de façon équitable, de limiter la pollution et de lutter contre le gaspillage. C’est à ce prix qu’on atteindra l’Objectif du millénaire pour le développement de l’ONU qui vise à assurer un environnement durable.
Pour avoir une vue d'ensemble sur l'environnement, consultez en priorité les articles suivants du dossier en cliquant sur celui de votre choix :
environnement
déchets
déforestation
désertification
développement durable
écologie
effet de serre
marée noire
ozone
parc
pollution
protection de l'environnement
réserve de biosphère
Noureddine
Noureddine

le mercredi, 20 août 2014 à 22:20 Citer ce message

Merci l'ami de le rappeler , je pense que l'humanité court à sa perte ou plutôt j'en suis sur
UN INTERNAUTE
UN INTERNAUTE

le dimanche, 24 août 2014 à 22:23 Citer ce message

http://www.miraclesducoran.com
LE REMUEMENT ET LE GONFLEMENT DE LA TERRE

… De même tu vois la terre desséchée : dès que Nous y faisons descendre de l'eau elle remue, se gonfle, et fait pousser toutes sortes de splendides couples de végétaux. (Sourate al-Hajj, 5)
Le mot arabe pour “remue” dans le verset ci-dessus est ihtazzat qui signifie “être en mouvement, prendre vie, trembler, se remuer”. Le mot rabat traduit par “se gonfle” a les nuances de sens suivantes : “augmenter, accroître, enfler, grandir, se développer, pousser (une plante), remplir d’air”. Ces termes décrivent au mieux les changements qui se produisent dans la structure moléculaire du sol au cours de la pluie.
Le mouvement décrit ici est différent de celui de la croûte terrestre qui se solde par un tremblement de terre, car seules les particules du sol se déplacent. Ces particules sont composées de couches empilées. Quand l’eau pénètre dans les couches, elle provoque le gonflement des particules de boue. Les étapes citées dans le verset s’expliquent scientifiquement comme suit :

Le remuement de la terre : La charge électrostatique sur la surface de la particule qui apparaît après la tombée de la pluie en quantité suffisante sur terre peut causer l’instabilité et donc des mouvements de tremblements. Ce mouvement n’est stabilisé que lorsque cette charge est neutralisée par une charge opposée. Le mouvement des particules doit aussi être attribué à sa collision avec les particules d’eau. Dans la mesure où les particules d’eau ne se déplacent dans aucune direction particulière, les particules terrestres bougent car elles sont frappées de tous les côtés. Robert Brown, un botaniste écossais, découvrit en 1827 que lorsque les gouttes d’eau touchent le sol, elles provoquent une sorte de vibration dans les molécules terrestres. Il baptisa ce mouvement de particules microscopiques “le mouvement brownien”. 1
Le gonflement de la terre : Quand il pleut, ces gouttes d’eau qui touchent la terre provoquent le gonflement et l’augmentation de volume de ces particules. Quand l’eau est abondante, l’espace entre les particules de la terre, qui permet aux particules d’eau et aux ions dissolus d’entrer, augmente. Quand l’eau et les nutriments dissolus se diffusent entre les couches, la taille des particules de terre augmente. Par conséquent ces particules servent de dépôts d’eau donnant la vie à la terre. L’infinie grâce d’Allah envers l’humanité veut que cette eau soit emmagasinée de la sorte sans qu’ils s’enfoncent par l’effet de la gravité. Si la terre ne pouvait pas retenir l’eau et ces dépôts de minéraux, l’eau s’enfoncerait dans les profondeurs de la terre, condamnant les plantes de vie. Toutefois, notre Seigneur a créé la terre de manière à ce que nombres de produits puissent en émerger.
La germination de la terre : Quand il y a assez d’eau dans la terre, les graines deviennent actives en absorbant des matières nutritives simples. Les plantes en pousse ont leur réserve en eau pour deux ou trois mois dans ces dépôts.
Le Coran décrit en trois étapes ce qui se produit quand la pluie tombe sur une terre sèche : les particules terrestres remuent, la terre se gonfle et offre enfin ses fruits. En dépit de l’âge de ces révélations (1400 ans), elles sont parfaitement exactes et conformes à ce que la science a dévoilé.

Un autre verset :

Une preuve pour eux est la terre morte, à laquelle Nous redonnons la vie, et d'où Nous faisons sortir des grains dont ils mangent. (Sourate Ya-Sin, 33)

1. Brian J. Ford, "Brownian Movement in Clarkia Pollen: A Reprise of the First Observations", The Microscope, 1992, vol. 40, no. 4, pp. 235-241 ; http://www.brianjford.com/wbbrowna.htm

Répondre à ce message