SID CHEIKH ( page III )
Sidi Ech-Chikh avait compris qu’un miracle lui faciliterait singulièrement la mission qu’il s’était donnée.
Or, cette année, la sécheresse était grande dans le pays, et presque tous les puits et fontaines étaient taris. En arrivant chez les Bni-Deddouch, à l’est de Nedroma, il descendit de sa monture, et demanda qu’on la fît boire. On lui répondit qu’il n’y avait
plus d’eau dans la contrée. « Eh bien ! dit-il, jetez-lui la bride sur le cou, et laissez la faire. » La mule,suivie par les grands de la
tribu, gravit une montagne ; arrivée à son sommet, elle frappa le sol de son sabot, et elle en fit jaillir une source abondante qui
coule encore.
Ne doutant pas, en présence de ce miracle, que le saint homme n’ait l’oreille de Dieu, les Bni-Deddouch essayèrent de retenir
dans leur pays un puissant qui disposait ainsi à son gré des bénédictions du Ciel; mais Sidi Ech-Chikh,qui n’avait eu d’autre but,
en opérant. ce miracle, que de prendre pied dans la tribu des Trara, eut l’habileté de refuser d’accéder au désir manifesté par les Kabyles, lesquels,pour le faire revenir sur sa décision, lui firent des offres superbes,qu’il refusa avec une sorte d’indignation qui acheva de lui conquérir toute la tribu, car pas un d’eux ne se sentait capable d’une pareille abnégation et d’un tel désintéressement
: « Je ne fais point commerce de la parole de Dieu, ô Kabyles ! et, en vous l’apportant, je n’y ai d’autre intérêt que le salut de vos
âmes. » Les Trara étaient tout à fait émerveillés des vertus de Sidi Ech-Chikh, et ces montagnards étaient désormais à lui.
Il voulut bien consentir à rester quelque temps parmi eux pour achever d’ouvrir leur pays aux marabouts, qui n’attendaient que
le résultat de sa tentative pour s’introduire à leur tour, et sous sa protection, dans le massif trarien. D’ailleurs, la mule de Sidi Ech-Chikh, qu’il consultait souvent quand il était embarrassé,n’était pas, d’avis qu’il s’éternisât dans ces montagnes ; elle avait la nostalgie des oasis et des palmiers, et elle ne s’était pas gênée pour faire connaître à son maître son opinion sur cette affaire, puisqu’il la lui avait
demandée ; elle s’en expliqua par des signes et des braiments dont le saint avait seul la clef.
Sidi Ech-Chikh donnait beaucoup de temps à la prière et à la contemplation ; pour y vaquer plus à l’aise, il se retirait dans des grottes ou cavernes, dont on a compté jusqu’à cent vingt.
Le saint homme mettait dans son ascétisme un raffinement qui laisse bien loin derrière lui les pieuses folies, les excès de dévotion des nachorètes chrétiens : ainsi, pour ne point céder au sommeil, il nouait à sa guethaïa une corde qu’il fixait en même temps au faite de sa cellule ; lorsque,vaincu par la fatigue, il s’abandonnait à l’assoupissement,
cette corde, en l’empêchant de s’étendre sur la natte qui lui servait de couche, le réveillait infailliblement par l’effet de la traction douloureuse qu’elle exerçait sur sa touffe de cheveux ;il pouvait, dès lors, continuer ses entretiens avec Dieu.
Il est évident que c’était là de l’exagération, car si le Prophète a dit : « Et, dans la nuit, consacre tes veilles à la prière ; il se peut que Dieu t’élève, dans ces veilles, une place glorieuse », il n’a certainement pas prétendu que les Croyants dussent se passer de sommeil : car il n’est pas indispensable que nos sens soient éveillés pour nous entretenir avec Dieu, et c’est souvent, au contraire, le moment de leur repos, de leur inactivité, qu’il choisit pour nous envoyer ses révélations et s’entretenir avec nous.
La dernière des kheloua habitée par Ech-Chikh était au pays d’Antar. Il y demeure cinq ans, cinq mois, cinq jours etcinq heures.
Cependant, Sidi Ech-Chikh dut payer son tribut à la mort. Ce fut en l’an 1615 de notre ère, — 1023 de l’hégire,— âgé de soixante-douze ans, qu’il rendit à Dieu une âme dont il s’était si merveilleusement servi pendant sa longue existence de piété, de bonnes oeuvres et de pratique de toutes les vertus musulmanes. Ce fut à Stiten, ksar situé à cinq lieues à l’est d’El-Beïodh du Ksal, qu’il termina sa vie.
Sentant sa fin approcher, il recommanda à ceux qui l’entouraient de placer son corps, dès qu’il aurait exhalé le dernier soupir, sur une chamelle blanche à laquelle ils laisseraient le choix de sa direction. A la première station de la chamelle,on devrait lotionner le corps du saint, et, à la seconde,l’enterrer sur le lieu même où elle se serait arrêtée: Les gensde Stiten fi rent selon les suprêmes volontés du saint marabout.
Cinq d’entre eux suivirent la chamelle, tout en se tenant cependant respectueusement à une certaine distance derrière elle, dans la crainte qu’elle ne pensât qu’ils voulaient l’influencer, pour rendre les derniers devoirs à celui que Dieu venait de rappeler à lui.
Après avoir marché tout le jour dans la direction du Sud, la chamelle s’arrêta,et s’accroupit non loin d’un point où Sidi Ech-Chikh était venu souvent se recueillir et prier.
Sachant qu’il n’y avait pas d’eau dans les environs, les Stiteniens furent fort embarrassés pour satisfaire à la première des recommandations du saint homme. Ils se consultèrent,et décidèrent à l’unanimité qu’il fallait inviter la chamelle, en y mettant des formes, bien entendu, à se lever et à pousser jusqu’au Kheneg Bou-Djelal, où, infailliblement,
ils trouveraient de l’eau , l’animal ne bougea pas. Persuadé que la bête
y mettait de l’entêtement, l’un des Stiteniens levait déjà son bâton pour l ’en frapper, quand un chacal apparut soudain à quelques pas de la chamelle, et jeta un glapissement plaintif que répéta l’écho. Le corps du saint fit, en même temps, un mouvement qui rompit ses liens, et il glissa doucement à terre, comme s’il y eût été déposé par des mains invisibles.
Tout aussitôt, le chacal gratta le sol, et il en jaillit une source limpide et abondante qui, depuis, n’a pas tari.
Les témoins de ce prodige comprirent alors qu’ils avaient eu tort de douter, et ils se mirent en devoir de procéder à la lotion du corps de l’ouali avec les eaux de cette source, laquelle, pour perpétuer le souvenir de ce miracle, fut appelée « Aïn El-Magh’sel-Sidi-Ech-Chikh », c’est-à-dire « Source de la Lotion de Sidi Ech-Chikh ».
Les Stiteniens enveloppèrent ensuite le corps du saint marabout dans son bernous, et le déposèrent sous un thuya pour y passer la nuit.
Le lendemain, à, l’heure de la prière du fedjeur (point du jour), la dépouille mortelle de Sidi Ech-Chikh fut de nouveau chargée sur la chamelle blanche, qui prit, sans hésiter, une direction sud-ouest. Elle marcha sans s’arrêter pendant tout le jour et toute la nuit, prenant les meilleurs chemins avec un étonnant instinct que ceux quila suivaient ne pouvaient se lasser d’admirer. Bien qu’ils fissent la route à pied, nos Stiteniens n’en ressentaient cependant aucune fatigue. Ils n’en furent pas surpris un seul instant, car ils se doutaient bien qu’ils ne devaient cette miraculeuse disposition qu’à la puissante intervention de Sidi Ech-Chikh. Enfin, vers l’heure de la prière du dhohor du second jour, ils arrivèrent chez les Oulad-Sidi-Ech-Chikh
EL Abiodh Sid Cheikh '' l'église "
Les khoddam de Sidi Ech-Chikh accoururent en foule dès qu’ils surent l’arrivée des restes mortels de leur saint patron.
Les gens de Stiten les instruisirent des dernières volontés de leur chef vénéré, et leur racontèrent les prodiges dont ils avaient été témoins pendant leur voyage. Une fosse fut creusée sur le lieu même où la chamelle avait déposé la précieuse
dépouille du saint marabout. Mais qu’on juge de l’admiration et de la surprise des Oulad-Sidi-Ech-Chikh quand, le lendemain,aux premiers feux du jour, ils s’aperçurent qu’une merveilleuse koubba, celle que l’on voit encore aujourd’hui,croyait être les ossements de l’ouali, il y aménagerait ses khoddam,ce qui était mal connaître les indigènes musulmans, tandis que cette destruction ne pouvait, au contraire, qu’éterniser l’insurrection.
Heureusement que, trois ans plus tard, le commandant de la province d’Oran, plus au fait des moeurs religieuses des Sahriens, et aussi diplomatiquement mieux avisé, demanda et obtint, en 1884,que cette faute fût réparée, et que cette koubba fût reconstruite sur son ancien emplacement, et sur le même modèle que celle qui avait été si malencontreusement détruite par la colonne dont nous venons de parler.
avait été élevée, sans le secours de la main de l’homme,sur la tombe de l’illustre et saint marabout. C’étaient, disait-on, des anges qui avaient voulu se charger de cette besogne.
Les singulières vertus de Sidi Ech-Chikh l’élevèrentùsi haut au-dessus des marabouts de sa race qu’ils tinrent à honneur de porter son nom et de se dire ses enfants ; c’est ainsi que, réunis en tribu, ils se firent appeler, après sa mort,Oulad-Sidi-Ech-Chikh, et se groupèrent, autour de son tombeau, dans les cinq ksour qui composent l’oasis d’El-Abiodh-Sidi-Ech-Cbikh.
Le vénéré marabout avait, fondé à El-Abiodh à une zaouïa qui n’avait pas tardé à devenir célèbre et qui était fréquentée par un grand nombre de savants et de Croyants qu’attiraient auprès de lui sa réputation de Sainteté, de science et de justice. Il constitua à cette zaouïa, pour subvenir à ses frais d’hospitalité, des redevances qui, encore aujourd’hui, sont fidèlement payées par les descendants de ceux qui les consentirent lors de leur fondation. Mais, craignant,sans doute, que ses enfants, s’il leur laissait le maniement des ressources de cet établissement, n’en détournassent les revenus à leur profit au lieu de les employer en oeuvres pieuses et en aumônes, il en confia l’administration à des Nègres affranchis. Il faut dire qu’à cette époque, les nègres étaient, ce qu’ils sont loin d’être aujourd’hui, des serviteurs dévoués faisant partie de la famille de leur maître, et traités comme tels ; aussi n’était-il pas rare alors que les grands personnages eussent plus de confiance en eux qu’en leurs propres enfants, et nous voyons, du reste, qu’aux yeux de Sidi Ech-Chikh une lignée de Nègres
trois pour la grande coupole,qui est taillée à huit faces, et sept pour la partie cubique.
Aux quatre angles de la terrasse se dressent de petits dômes d’ornementation donnant une grande élégance au monument. On pénètre à l’intérieur de la chapelle par un escalier de quelques marches donnant accès dans une sorte deElle était ainsi lorsque, en 1858, nous l’avons visitée aveu la colonne du général Durrieu, dont nous étions l’officier’ordonnance.vestibule précédant le sanctuaire. Cette première partie de
Prise d'El Abiodh Sid Cheikh
l’édifice,dqui est soutenue par des colonnes, est ornée d’une glace à cadre doré qui jure un peu avec l’affectation du monument ;
composent, avec la glace, tout le luxe ornemental de ce vestibule. Les murailles de la chambre funéraire sont absolument nuas; la terrasse de cette partie de la chapelle est soutenue par quatre piliers s’épanouissant en arcades, et au centre desquels s’élève le tombeau de Sidi Ech-Chikh. Le tabout (cercueil), qui est entouré d’une galerie en bois sculptée à jour, est placé sous une tenture de mousseline de couleurs verte et jaune, terminée, dans le bas et latéralement, par de larges bandes d’indienne fleurie.
Des tapis recouvrent le sol. On pourrait, sans trop de sévérité,reprocher aux Nègres gardiens du tombeau de les laisser par trop vieillir.
De petites lucarnes, ne laissant pénétrer qu’un jour crépusculaire sur le tombeau de l’ouali, donnent à la chapelle funéraire quelque chose de mystérieux, qui ajoute encore au sentiment d’admiration dont on se sent involontairement pénétré, en présence des restes mortels d’un homme dont l’illustration a le don d’amener ainsi les foules de toutes les parties du Sahra autour de son tombeau.
La koubba est renfermée entre les quatre faces d’un mur d’enceinte d’un mètre d’élévation, relevé en pyramidions à ses angles et sur le milieu de chacun de ses côtés.
Les khouan de l’ordre secondaire de Sidi Ech-Chikh,ou des Chikhya, qui date de la mort du saint (1615 de notre ère), sont très nombreux dans toutes les tribus sahriennes ; cet ordre compte des affi liés depuis les Hauts-Plateaux jusqu’au Gourara et au Touat ; le Maroc a aussi un certain nombre de Croyants qui sont fi ers de se dire ses khoddam et de réciter son diker. La foule des pèlerins qui viennent en ziara (visite) au tombeau du saint a valu au ksar d’El-Abiodh-Sidi-Ech-Chikh le surnom de Mekka du désert.
C’est, en effet, un va-et-vient incessant de visiteurs qui accourent des quatre points cardinaux pour solliciter sa puissante intercession auprès du Dieu unique, et recueillir pieusement sous son tombeau une poignée de terre pour en faire des heurouz, talismans précieux ne manquant jamais leur effet quand la foi des pèlerins est suffisamment robuste.
Cette terre possède d’ailleurs des vertus merveilleuses, aussi bien pour garantir les fidèles croyants de tout mal que pour préserver et guérir de toutes blessures les animaux domestiques ou les troupeaux. La profonde excavation qu’on remarque sous le tombeau du saint témoigne de l’énorme consommation qui en est faite, de la foi des ziar (visiteurs) dans les bienfaisantes propriétés de cette terre, laquelle est saturée, en effet, de tous les vivifi ants effl uves qui se dégagent,depuis deux cent soixante-quinze ans, des précieux restes du saint.
L’illustration de Sidi Ech-Chikh est d’un excellent rapport pour ses; descendants, car il n’est pas une familledans le Sahra qui ne leur apporte annuellement son offrande,et cela indépendamment des dons en argent et en nature qui sont remis aux Nègres chargés de l’administration de la zaouïa de Sidi Ech-Chikh, et de l’entretien de son tombeau.
Pour ces derniers, c’est, au printemps, une brebis avec sonagneau, ou un agneau seulement, suivant les ressources du donateur ; c’est une mesure de beurre et de dattes quand les caravanes reviennent du Gourara ; ou bien une mesure de blé ou d’orge quand elles rentrent du Tell. Dans bien des tribus même, plusieurs familles aisées se cotisent pour offrir un chameau. Les habitants des ksour donnent des chevreaux, et une dîme sur tous les produits de leurs jardins. Les ksour du Gourara et certaines autres tribus
remplacent souvent leur offrande en nature par un don en argent de pareille valeur.
En résumé, les descendants des Nègres que Sidi Ech-Chikh avait chargés, à l’exclusion des membres de sa famille, de la gestion des intérêts de son oeuvre, se font ainsi un revenu annuel qui peut être estimé de soixante-dix à quatre-vingt mille francs. Aussi .vivent-ils largement, grassement, de leur saint.
L’héritier de la baraka, qui est toujours le chef de la famille des descendants de Sidi Ech-Chikh, possédait, avant 1864, c’est-à-dire antérieurement à la détection des Oulad-Sidi-Hamza, des magasins dans les principaux ksour de son khalifalik, dépôts où il entassait pêle-mêle, et sans profit pour personne, les offrandes en nature des khoddamn de son saint ancêtre ; c’étaient des capharnaüms où se gâtaient,se pourrissaient rapidement tous ces biens de Dieu qui tombaient si inutilement du ciel, et dont faisaient un si pauvre usage les héritiers indignes de Sidi Ech-Chikh.
Sidi Ech-Chikh fit un grand nombre de miracles après sa mort, et, aujourd’hui encore, sa puissance thaumaturgique ne parait pas s’être sensiblement affaiblie .
Sans doute, les miracles n’y ont plus le brillant, le prodigieux,le retentissant, le foudroyant de ceux d’autrefois; mais, pour être plus modestes, ils n’en sont pas moins réels, patents,manifestes, indéniables : en effet, que de paralytiques ayant recouvré l’usage de leurs membres après un pèlerinage au tombeau du saint ! que de stériles devenues fécondes ! que d’impuissants redevenus puissants ! que de chameaux perdus retrouvés ! que de maux guéris ! que de souhaits exaucés ! et tout cela par l’effet évident de l’intercession du saint ami de Dieu ! Aussi, quelle averse d’offrandes sur la tête de ses descendants ! Car ils reçoivent tout et de toutes mains, ces saints à l’engrais, d’ailleurs si dégénérés, et ils trouvent aujourd’hui autant de valeur au douro du Chrétien qu’à celui du plus pur Musulman. A quoi pense donc là-haut Sidi Ech-Chikh, qu’il ne met pas un terme, par un bon miracle, au scandaleux gaspillage que fait des offrandes du Croyant son indigne descendance, et celle des Nègres affranchis à qui il a confié la garde de son tombeau ?
Sidi Ech-Chikh, nous le répétons, eut dix-huit enfants,dont les plus célèbres furent : Sidi El-Hadj-Abou-Hafs, Sidi Mohammed-Abd-Allah, Sidi El-Hadj-Abd-el-Hakem, Sidi Ben-Ed-Din, Sidi El-Hadj ben-Ech-Chikh, Sidi Abd-er-Rahman.
Le don des miracles ne se manifesta pas au même degré chez tous les enfants de Sidi Ech-Chikh ; la tradition en a pourtant retenu quelques-uns attribués particulièrement à Sidi El-Hadj Abou-Hafs, son troisième fils, et à son frère Sidi Mohammed-Abd-Allah.
Nota
La plupart des détails qui composent la légende de Sidi Cheikh ont été recueillis auprés de Sid Hamza-Ould-Sidi-Abou-Bekr, ancien khelifa du Sud le descendant en ligne directe de Sid Cheikh.
Commentaires (27)
- 1. | samedi, 17 février 2018
- 2. | samedi, 17 février 2018
- 3. | samedi, 29 octobre 2016
( mon grand pere Moulefera bourahla ne en 1882 à beniounif fils de taleb Ahmed OULD elhadj Ahmed OULD Belkacem!!)
- 4. | mercredi, 18 mai 2016
- 5. | lundi, 13 juillet 2015
Enfin, je lance un appel à toute personne ayant des renseignements sur les SAIDAT dont notre famille fait partie de nous aider afin de dresser l'arbre généalogique et que je serai très reconnaissant de leur aide et merci d'avance. Saha f'tourkom.
- 6. | samedi, 23 mars 2013
- 7. | samedi, 23 février 2013
- 8. | lundi, 11 février 2013
Je vous remercie pour votre collaboration.
- 9. | dimanche, 15 janvier 2012
La page 83:"Les Ecrits de Sidi Cheikh"
La page 125:"Une Conclusion pour Sidi Cheikh"
Il y a aussi :" Kitab En Nassab"(la descendance du Prophète au Maghrèb) du même auteur qui ,aussi peut bien vous intérésser.
Je vous recommande de bien lire aussi et en premier ce qui est écrit par notre Wabmestre sur le site de"nostalgie géryville"sur cette rubrique et sur d'autres rubriques .
Il y a aussi les archives françaises dont il a été question de leur ouverture en 2012 ,il faut se renseigner ,c'est aussi une issue pour beaucoup d'informations . A mon sens il faut continuer à faire de la recherche ,vous trouverez à force d'efforts et de curiosité . Je vous souhaite bon courage et à bientôt, !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ,..............................votre collègue internaute ,Abderrahmane,
- 10. | dimanche, 08 janvier 2012
monsieur(((((abdelkader ouled miloud ouled kada ouled abdelkader ouled safi ouled cheikh Tous nés à BENI-SAF))))))) ana neskon fi labiadh sidi cheikh contactez moi et je vous aide ok
- 11. | mercredi, 30 novembre 2011
JE CHERCHE DE L'AIDE POUR CONNAITRE MES ARRIERES GRANDS PERES ET MERCI D'AVANCE.
- 12. | dimanche, 07 août 2011
Par vos riches contributions,vous laisserez à nos enfants un "trésor" incomparable et unique dans l(histoire arabe en général.
Encore une fois,merci inifiniment de votre noble acte,que DIEU vous bénisse,amiiiiiiiiiiiiiin
- 13. | jeudi, 27 janvier 2011
- 14. | mardi, 09 novembre 2010
Ne dit-il pas :
Depuis l'époque de Homeir et Makhzoum ,
les arabes ne savent plus relever le défi
Que dire de notre époque ???
N/B : HOMEIR et MAKHZOUM Tribus guérrières de la péninsule arabique qui ont combatu le prophète Sayidina MOHAMED mais par la suite se sont ralliés à lui et à sa cause
- 15. | mardi, 09 novembre 2010
- 16. | dimanche, 07 novembre 2010
je fais parti de cette grande famille de ouled sid cheih (ouled sid haj bahaos),j'ai boucoup d'histoir de cet homme mohammed ben abdelkader nomé sid cheikh par exemple son livre ELYAKOUTA....
VOICI MON ADRESSE
BELHEGUETE CHEIKH BP 122F BECHAR ALGERIA .-SOYEZ LES BIEN VENUS .
- 17. | vendredi, 29 octobre 2010
- 18. | vendredi, 10 septembre 2010
Effectivement lors du massacre de la colonne de beauprête à Aouinet Boubekeur ( El-Bayadh )ce dernier était venu spécialement mater la rebélion ,suite à ce revers cinglant qui retentit jusqu'en France , l'autorité coloniale chassa sans relache les Zoua Cheragua dont une bonne partie trouva refuge au Maroc dans le "bled siba"
vous trouverez référence à cette épopée glorieuse sur le site : rubrique "AOUINET BOUBEKEUR" si ça peut vous intérésser
Amitiés
- 19. | lundi, 06 septembre 2010
tout ce que je sais , nous descendons du premier khalife de l'islam
abou bakr esedik qu'ALLAH l'agrée pouvez m'en apprendre plus.
VOICI MON ADRESSE ELECTRONIQUE
lemnaouar@hotmail.fr
- 20. | dimanche, 22 août 2010
Merci pour votre passage , vous dites des ouled cheikh
et vous dites n'avoir pas trouvé de relation avec ceux de l'ouest algerien , ceux de chez nous se noment les ouled sid Cheikh , c'est dans le Sid que réside la différence
En effet ce n'est nullement la qouba de sid Cheikh et je ne l'ai pas mentionné, c'est une photo ancienne que j'ai inséré avec la rubrique et merci pour le complément d'informations
Non je suis ouvert à toute remarque pourvu qu'elle soit constructive
Avec mes sincères amitiés