KHELIFI AHMED
KHELIFI AHMED
Je ne sais pourquoi on oublie toujours chez nous ceux qui ont beaucoup donné pour l’Algérie.
A travers cet humble espace j’ai voulu rendre un vibrant hommage à ce grand monsieur chantre
de la chanson bédouine qu’est Khelifi ahmed , beaucoup de Baydhi se souviendront de son passage
au « feu cinéma ksel » tiens on a oublié comment est faite une salle de cinéma.
Lorsque je traverse nos vastes plaines j’ai toujours une grande pensée pour ce grand monsieur de la
chanson bédouine.
Actuellement nous sommes sodomisés de ces chansons rai qui ne reflètent nullement notre culture
musicale ancestrale .
Qui pensait qu'un jour notre espace culturel serait envahi par des " chanteurs " aux noms à
connotation bizarre : Talyani - Japoni - Dauphin - Djenia et j'en passe le tout sur fond aux paroles
frisant le ridicule et relayées gracieusement à longueur de journée par notre débile TV et les différentes
ondes radios régionales .
C'est triste ya Si Ahmed , ta place est à jamais enfouie dans nos cœurs et nul ne te remplacera
Ces merveilleuses mélodies bédouines et cet " aye ! yaye ! " tendent petit à petit à disparaître mais bon
c’est comme ça .
Que dire sinon sale temps pour les vrais artistes de la trempe du grand Si Ahmed.
Salut l’artiste .
TOUMI Noureddine
QUI EST KHELIFI AHMED
De son vrai nom Ahmed Abbas Ben Aïssa, Khelifi Ahmed est né à Sidi Khaled sur les rives d'Oued-Jdi (Biskra).
Issu de la tribu des Ouled Ben Khelifa, il n'a jamais connu l'école française ; son instruction fut assurée par l'école
coranique où il apprit très tôt trente chapitres du Livre Sacré. Ses parents, paysans aisés, lui donnèrent très jeune
le goût de l'agriculture : c'est lui qui soignait les palmiers de la famille ; il aimait ce travail qui lui permettait de
grimper au plus haut des palmiers pour les tailler, les féconder ou procéder à la cueillette des régimes de dattes.
Son père étant très âgé, le cadi désigna comme tuteur des enfants (trois frères et quatre sœurs) leur oncle maternel
El-Hadj Benkhlifa.
Cet homme aura par la suite une grande influence sur la vie du jeune Khelifi, parce qu'El-Hadj Benkhlifa était un
des plus anciens chanteurs du genre saharien (meddahs), et le premier qui a enregistré, en 1933, chez Anouar et
Bachir Er-Saissi, en Tunisie, une chanson sur l'héroïne de Benguitoune, Hyzia. Il introduisit son neveu dans la
chorale de la confrérie Rahmania qu'il animait et lui donna ainsi le goût du chant et de la poésie populaires.
Le talent de ce meddah était si grand que la société Baïdaphone le fit venir à Paris, en 1934, pour enregistrer ses
œuvres avec Saïd EI-Braïdji comme accompagnateur à la flûte et Slimane Meggari comme choriste.
Le jour de
sortie des disques, toute la famille s'était réunie dans la maison du grand-père pour écouter la nouvelle vedette ; la
soirée se prolongea fort tard dans la nuit et le lendemain, le jeune Khelifi ne put aller à l'école coranique ; son maître,
à la demande de son père, envoya le chercher par les grands de la classe et lui administra le châtiment de la falaqa
(cinquante coups de bâton) dont il se souviendra longtemps. Mais cette correction ne suffira pas pour mettre un
terme à son penchant pour le chant ; il continua à participer à toutes les soirées qu'animait son oncle dans la région
d'Ouled Djellal et de Biskra, et cela jusqu'en 1939. Son oncle fut aussi la cause de son départ du village natal.
En effet, en raison de la sécheresse qui sévissait depuis quatre ans, l'agriculture familiale étant perdue, le tuteur des
enfants dut se résoudre à vendre les terres de la famille pour la nourrir ; ce fut la ruine totale pour cette famille.
En 1941, le jeune Khelifi, réduit à la misère, se réfugia auprès d'une de ses sœurs, à Ksar Chellala. Là, il fit une autre
rencontre décisive, celle de Djerbi, menuisier de son état, qui l'engagea comme apprenti et le fit vivre au milieu de sa
famille. Un des fils, amateur de musique, jouait de la mandoline et l'entraîna, en raison de ses dispositions pour le
chant, dans les soirées intimes que les jeunes organisaient dans la région, développant ainsi son goût pour la musique.
Il resta quatre ans auprès de cette famille dans laquelle il choisira son épouse en 1951. En 1943, il «monta» à Alger
chez un des amis qu'il avait connus dans les soirées de jeunes et qui le recommanda à un parent désigné comme
conservateur de la mosquée de Sidi M'Hamed (à Belcourt).
Le succès des poèmes chantés
Il restera auprès de ce personnage religieux quatre années, l'aidant à recevoir des pèlerins et participant toujours
aux soirées de med'h à l'occasion des fêtes religieuses. Dès 1947, Boudali Safir, directeur artistique de Radio Alger,
informé par la rumeur publique, le sollicita pour lui confier l'orchestre bédouin qu'il venait de former. Sa première
émission, il la fit avec Abdelhamid Ababsa qui l'accompagna au piano ; pour la suite des émissions, il fit appel à un
de ses amis de Sidi M'Hamed, Sid- Ali Touil, bon luthiste, qui avait une certaine connaissance du genre med'h.
Ce n'est qu'en 1949 que Khelifi se lança dans le chant typique du Sud (aï-aï) où l’emploi des flûtes est nécessaire.
Cette année-là, il collabora avec Missoum qui l'entraîna avec la troupe de Abdelhalim Raïs dans une tournée à
travers l'Algérie. Cette tournée fut interrompue sur ordre de l'administration coloniale à Annaba et Khelifi dut se
réfugier dans la confrérie Kettania, à Constantine, en attendant des jours meilleurs.
En 1952, il collabora à l'émission Khalti Tamani de M. E. Hachelaf qui avait alors un grand succès auprès des
auditeurs ; la formule consistait à répondre en petits quatrains aux
questions des auditeurs ; ces courts poèmes étaient composés sur place et chantés par un membre de la troupe,
alternativement Meriem Abed et Khelifi Ahmed.
Les auditeurs envoyaient aussi des poèmes des maîtres du passé ou des poètes vivants pour lesquels il fallait composer
un air qu'on chantait aussitôt ; c'est ainsi que fut découvert le poète Aïssa Ben Allal dont le recueil entier se trouve
entre les mains de Khelifi Ahmed et dont quelques œuvres, chantées par ce dernier, connaissent un très grand succès :
c'est le cas de Guelbi tfakkar orban rahhala et de Abqa âla khir ya walni. C'est à cette époque-là que débuta une collaboration
fructueuse entre Khelifi Ahmed et M. E. Hachelaf qui a écrit pour cette nouvelle étoile de la chanson algérienne des œuvres de
l'importance d'Ennejm mcha Oucer les-Sahra Guebbel, Tal Elwââd Ourah guelbi yet'
Allem, Sid Ettaleb, poèmes dans le style des meilleurs poètes sahariens et qu'un auditeur non averti pourrait
à un de ces maîtres et non pas à ce poète contemporain. Khelifi collabora longtemps à cette émission et à une émission voisine
Badmvi Asri qui était une tentative de modernisation du genre sahraoui, animée par Rahab Tahar et à laquelle participait un
orchestre moderne sous la direction de Mustapha Skandrani. C'est l'interprétation de la première
de son répertoire de ce style Qamr Ellil de Benkarriou qui attira l'attention d'Ahmed Hachelaf qui lui fit enregistrer,
en 1953, une série de chansons qui ont marqué l'époque : Qamr Ellil, Youm Elhad, Ya Marsam, Ya Layyem. En 1966, il obtient
l'Oscar de la chanson traditionnelle pour la maîtrise parfaite et l'interprétation superbe d'une œuvre très connue : Qamr Ellil.
Une voix exceptionnelle et expressive
Le genre sahraoui étant avant tout à base d'improvisation sur des modes traditionnels, il laisse l'interprète libre de
ses vocalises. La lecture et la psalmodie du Coran qu'il pratique depuis son enfance l'aident dans ses interprétations ;
c'est le seul chanteur à ne pas avoir eu besoin de compositeur. Les modes utilisés dans ce genre sahraoui sont ceux en
usage dans la musique arabe en Orient ; le sroudji, qui n'est autre que le bayati, le hiouti, c'est-à-dire le sika, le saba,
qui prend le nom de mawal kerdada, le hidjaz, à savoir le aïdi, le nahawend ou gsouri, le bayati chouri, qui n'est
autre que le saïhi ; le rasd d'hil c'est le ghates, comme le m'hayer araq est le srawi. Ce qui explique que son passage
dans les pays arabes est, pour cette raison, très apprécié. Maître de son souffle puissant, doué d'une voix expressive,
sensible aux sentiments élevés, romanesque par tempérament, Ahmed Khelifi, chantre de l'amour devenu impossible
et de l'honneur bafoué, incarnera durant près d'un demi-siècle le genre bédouin Aïaï avec les complaintes de
l'inséparable couple guesba-bendir. En 1975, il quitte la radio et, en 1989, il se retire complètement de la scène artistique après
l'accomplissement de sa Omra aux Lieux Saints, en raison de son âge.
Commentaires (63)
J'apprécie beaucoup cet hommage rendu au grand Khelifi Ahmed et à tous nos merveilleux paroliers dont le fils d'El Bayadh Mohamed Guerroudj, auteur de "Bent El Jar"
Certes le Raï et autres styles se répandent comme une trainée de poudre ou même parfois comme des mauvaises herbes, mais notre patrimoine Saharien est immortel pour moi; de mon lointain exil, je me sent en plein voyage à travers la steppe et les dunes à chaque écoute de nos merveilleuses mélodies accompagnées des airs de gasba envoutantes.
Bien à vous tous
Hommage Adieu Khelifi Ahmed, chevalier des déserts , Par Cherif Rahmani (*)
Si Ahmed est né à Sidi Khaled, au cœur des Hauts-Plateaux, sur les bords de l’oued Mzi.
Ce poète en herbe, jeune et sans argent, se déplaçant entre les villes des Hauts-Plateaux (Sidi Khaled, Ouled Djellal, Ksar Chellala, Djelfa...) trouvait dans la solitude et le génie de ces hauts lieux de la steppe la force de promouvoir un nouveau genre de poésie et de chanson algérienne.
De ses rencontres avec Benguitoune, Belkheir, Benkriou ou encore Kaddour Ben Achour naîtront peu à peu une amitié et une riche connivence qui lui permettent de développer un registre remarquable de chansons frappées du sceau de l’éternité : Gamr El Leïl, Bent Sahra, Ghomri, Galbi Tfekar, Loghzal Eli Kan... Il a été le porte-voix emblématique de ces poètes lyriques et le continuateur d’une longue tradition des poètes de la steppe et des déserts. Il avait la voix puissante, limpide et unique ; le philtre mystérieux de cette voix de stentor qui a enchanté les cœurs et marqué des générations.
Au son de sa voix, on est charmés, on l’écoute avec recueillement. Son physique d’«algerian Iover» ajoutait à son aura naturelle. Il embellit tout ce qu’il chante : le désert, la steppe, la femme, les mystiques, les chevaliers et les aventuriers. Il avait une curieuse vocation à mixer la tristesse et la joie. Sa chanson est habitée par une mélodie infinie, subtile et profonde, qui exprime toute la sensualité des déserts. Une mélodie qui s’évase vers un delta d’images des déserts ; elle éveille en nous un désir de rencontre de ces espaces avec leurs formes mouvantes et sensuelles : Khelifi porte l’empreinte des déserts.
Malgré la grande affection populaire, il a su rester simple et respectueux des autres et, avant tout, du public. Il est resté toujours le même, fidèle à la chanson traditionaliste et populaire ; il n’a jamais été gagné par le cabotinage. C’est là le propre d’une personnalité unique, comme on en voit peu dans le milieu des artistes.
Aussi fidèle en amitié qu’épicurien, il entretient des liens chaleureusement privilégiés avec ses amis de jeunesse ; d’ailleurs, une grande complicité l’unissait à mon père, qui lui portait une réelle affection.
Prématurément, il mit fin à une carrière, une carrière à l’image de l’homme, d’un seul tenant, sans come-back, sans second souffle, sans entracte : de ce point de vue, il incarne la fin d’une époque politique et musicale. En effet, durant ces dernières années, blessé par la tragédie nationale et oublié par les siens, il mit fin à sa carrière et on ne le verra que très peu sur scène. Il se réfugia dignement dans le silence qu’il tenait des immensités steppiques. C’est dans cette solitude que je lui rendis visite, en 1998, pour un hommage amical et apporter un peu de réconfort à ce géant qui a tant enchanté nos cœurs.
Jamais un homme lyrique ne m’a autant bouleversé, même si aux oreilles de certains, son chant paraît désuet. Il reste l’un des plus grands artistes algériens de tous les temps et un phénomène dans la longue chevauchée de la chanson nationale. Ce pur poète, qui a si dignement campé la personnalité bédouine et saharienne, est une conscience de l’Algérie profonde. Adieu Si Ahmed !"
Je vous souhaite une bonne lecture et merci à l'auteur qui a su écrire cette charge de sentiments et de considérations qu'il voue au spécialiste d"'Elmalhoune"
à bientôt !Allah yarhameh oui wassaaalih! ............................... !!!!!!!....................,Abderrahmane,
Avant tout je te remercie d'avoir soulevé ce problème , grace à vous j'ai réussi à corriger ce problème que je n'avais pas pris au sérieux auparavant, à présent les musiques peuvent être écoutées avec d'autres navigateurs et tout rentrera dans l'ordre d'ici demain Inchallah
en tout les cas les éssais ont été concluants avec Netscape et opéra.Avec la plate forme que J'utilise ces navigateurs présentent quelques lacunes comparées à Internet explorer 8(certaines difficultés d'affichage de texte et d'images...)
Personnelement j'utilise Explorer 8 qui présente aussi plusieurs options ( Navigation sécurisée , l'affichage de comptabilité: les sites web conçus pour des navigat. plus anciens auront un meilleur aspect et bien d'autres choses.
Ceci reste mon avis
Bonne journée
En voilà une précieuse information pour mon instruction et celle de tous les internautes qui naviguent sur internet à bord de google chrome et autres. Je vais essayer avec la nouvelle version d'IE8. Merci !
Sans problème pour la chanson , au fait il n'y a aucun lien pour écouter cette chanson , elle se charge automatiquement.
Je ne sais quel navigateur vous utilisez ?
Elle ne peut étre écouter qu'avec Internet Explorer , donc si vous utilisez comme navigateur internet explorer elle se charge automatiquement sur cette rubrique même sans problème
Pour le navigateur FIREFOX je pense quelle peut aussi étre écouter ( à vérifier ) , pour les autres navigateurs la musique n'est pas supportée , dans la majeure partie des rubriques du site est incorporée de la musique.
Sur la rubrique consacrée à HIZIA ( Menu de gauche ) dans la catégorie DESTIN DE FEMMES est insérée une autre chanson de Monsieur Khelifi Ahmed à savoir HIZIA
D'ailleurs pour une connection optimum sur le site il est préconisé d'utiliser internet explorer au mieux la dernière version 8
Donc avis aux autres internautes
Bonne fin de soirée
P/S M'en faire part si vous rencontrez des difficultés
- Pour les internautes ayant un faible débit 256 kbts les chansons risquent de mettre du temps pour se charger , donc il faut un peu de patience
Monsieur Noureddine, sachez que votre petite pensée est allée directement au coeur. Je n'en peux que me réjouir, grand merci !
Cependant j'ai cherché partout sur le forum, le lien de la chanson qui m'a été dédiée et que j'appréciais beaucoup... J'avais même lu le manuscrit de la lettre de Feu Guerrouj à Khelifi reproduisant la poésie
dite "Bent el jar". Ensuite Khelifi avait répondu par retour de courrier à Guerrouj. Là aussi s'était une lettre rédigée de la main de Khlifi -Yedhokrah aala kheir incha Allah.
Une petite pensée pour l'ami Med qui demandait la chanson de sol ou salssal ya l'goumri , elle n'est pas actuellement disponible ( à mon niveau ), ceci dit j'ai inséré une autre tres belle mélodie présente ici même sur cette rubrique ayant pour titre BENT EL DJAR YA SEKNA FI HOUMETNA , ça doit raviver surement en vous et à nos amis internautes des souvenirs , en plus les paroles sont l'oeuvre d' un Baydhi fils du bled dont nous sommes très fiers à savoir Si Guerroudj ce n'est pas Mr Djellali qui me contredira à coup sûr
Tres belle chanson croyez moi , c'est ma préférée et mérite d'être écoutée.
Bonne écoute
votre préféré "KHELIFI Ahmed" :
www.douniamusic.com/artist/Khlifi-Ahmed.php
Faites nous entendre la chanson de Khlifi Ahmed. Titre : Sol ou salsal ya elgomri.
merci d'avance !
Notre Cheikh était, est et restera grand et dans le coeur de ceux qui l'aiment et l'apprécient.
Avant que je ne quitte l'Algerie Khelifi habitait une villa a Joinville a Blida , sa fille Amina etait avec moi au lycee El Feth et j'ai eu l'occasion de voir ce gentlemen en costume europeen et je vous assure qu'il ressemblait a cette epoque a SEAN CONNERY ( 1977? )
"Ya hasrah" comme on dit chez nous, ces magnifiques chants tendent à disparaitre au profit de chants étrangers à notre magnifique et grand patrimoine artistique sans oublier que l'audio visuel chez nous participe à ce massacre
C'est triste
Si Noureddine : encore ,et ioujours ;Merci Merci Merci...
Khelifi Ahmed est un grand nom de notre riche histoire musicale...il a su trouver le chemin de nos coeurs...pour moi ,ses radieuses mélodies sont l'âme mème de ma belle et généreuse steppe...surtout lorsqu'il s'agit de "Bent eljar" de Guerrouj Elhaj d'EL-BAYADH ( que de l'amour qui n'existe presque plus de nos jours ),ou de "Wach issabar khatri" de Sid'El-àrbi d'ELBIODH ( que de la fidélité qui perd chaque jour un peu de son sens dans notre société ),ou de "Gamr elleil" d'Abdallah Benkerriou de LAGHOUAT ( que des beaux rêves qui ne sont aujourd'hui que balivernes sans fruit ),ou de "Galbi tfakar ôrbane rahala" d'Aissa Benàllal de KSAR ECH-CHALLALA ( que de la gloire qui n'est de notre temps qu'un lointain souvenir appelé à disparaître ,tôt ou tard )...
Je pense qu'il est de notre devoir de redonner vie et respect à notre identité culturelle plus-que millénaire ,et d'encourager toute personne qui travaille dans ce sens...
Je vous félicite admirable Noureddine ,et mes sincères amitiés pour tout le beau monde de ce site.
Il nous a aidés à grandir, merci et chapeau bas Monsieur Khelifi Ahmed !!
Fatiha
saidi20.zara@hotmail.fr
http://www.douniamusic.com/musique-Khlifi-Ahmed/Vol-03.php
J'écoute avec émotion la chanson Hizya, le plus beau poème qui puisse exister et la voix de Khelifi Ahmed l'a sublimée.
Merci à toi Nourredine d'avoir fait revivre notre patrimoine.
je vous adresse mes chaleureux remerciements de Paris. Mal en a pris aux algériens d'enterrer ceux qui ont donné vie à leur patrimoine,,, ya hassrataaaaaaaaaaah.
Encore merci, à tout ceux qui ne se laissent emporté par l'air du temps si volatile, comme le destin réservé à une feuille morte, qui vague au gré du vent!!!
Oui pourquoi pas pour la compil. de ce grand monsieur dont je suis un fan
Amitiés - Noureddine
un site extraordinairement conçu.
j'ai presque toute la compilation si tu veux n'hésites pas.
على هذا الاحتفاظ بهذا الكنز
الكبير و نتمنى لكل من ساهم
فيه النجاح و شكرا
a toute et a tous;qui sait comment est ce qu'il est possible d'avoir les coordonnées de ce mettre incontesté du genre bedoui ;et j aimerais savoir s'il donne toujour des concerts???
merci de me repondre sur mon adresse mail .
saha
C'est la fin tragique de nos artistes ces grands personnages qui ont bercé nos doux reves d'adolécents , comme le cas du joueur international de foot-ball Aissa Draoui mort dans la misère et l'anonymat le plus total( c'était l'artisan de la victoire contre la France lors des J.M d'Alger 1975 en finale) , hé oui c'est comme ça qu'on remercie nos champions : c'est inadmissible et tragique , saviez vs que mr khelifi ahmed habite un Hlm !!!!
On ne pourra jamais te remercier assez Noureddine. CHAPEAU!ZOUATINE
khelifi ahmed , beaucoups de baydi ' jerryvillois ) se souviendront de son parcours a traversla chanson du ghasba merci pour tout jesuis parmis les fan de ce monsieur.
Khelifi Ahmed a chanté, il me semble une chanson sur la guerre du golf? est ce qlq'1 connait son titre?
merci d'avance
J'ai toujours aimé ce remarquable interprète, non pas à cause de cette anecdote, mais parce que j'aime le melhoun, ces qaçaides poétiques et magnifiques dans leur rythmique, leur versification et, aussi, parce que la voix de Ahmed KHELIFI est l'une des rares voix algériennes authentiquement belles.
Le plus beau et plus grave c'est les médias ( TV et Radio) qui passent à longueur de journée ce genre de conneries
Où va l'Algérie?
Et malheureusement pas comme la vermine et les virus du RAI qui ont pourris la culture Algerienne et dénatures notre belle tradition culturelle basée sur le respect et l'humilité.je detestele rai et le rap parceque ceux sont des genres dont les chanteurs n'ont rien à dire que parler de vulgarité.Comme vous pouvez egalement contstater que ces personnes en majorité écrasante n'ont aucun niveau intellectuel.>
pour ne pas renter dans les details c'est la ville qui reflete celle du pays (blade hyate flane) el miyite yehyouhe oul hey yeketlouhe
on enterre le vivant et on deterre les morts
c'est malheureux mais c'est vrai
des tour...noix
Encore merci
effectivement, c'etait bien bba qui aimait khelifi ahmed.
bravo pour toutes tes idees sur ton blog .
et merci encore.
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